Domaine de Charles-Antoine d'Appérault-Frayner
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Manu95
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[PARODIE] Les Royaumes Redondant Empty [PARODIE] Les Royaumes Redondant

Dim 7 Nov - 23:19
Les Royaumes Redondants©


Introduction … de quoi ? Hé bé, vous verrez bien…

An de grâce 1452. La guerre de 100 ans vit ses dernières années. Charles VII le victorieux, sur le trône du royaume de France, touche à l’apogée de sa puissance. Il a enchainé reconquête sur reconquête et a repris bon nombre de territoire français comme le Maine la Normandie, et une partie du sud ouest. Toutefois, Une expédition conduite par Talbot, anglais, reprend Bordeaux avec l'aide de la population en octobre 1452. Mais un évènement va perturber de façon irrémédiable la cour de l’histoire. Un coup d’état, minutieusement préparé, que les historiens se porteraient à croire œuvre de sorcellerie, détrône Charles VII, qui se retrouve exécuté sans aucune forme de procès, avec l’ensemble de ses vassaux. C’est ainsi que Lavon Ier monte sur le trône, fait exterminer toutes la population de son nouveau royaume, afin d’y installer son peuple. Une nouvelle aire vient de démarrer. Une aire ou le maïs apparaît pouf pouf comme du pop corn (oui je sais c’est bidon). L’aire des Royaumes redondants ….

UN JOUEUR CHIANT : heu tu veux dire les Royaumes renaissants non ?

MANUEL : c’est une parodie, tu connais la chanson, copyright, droit d’auteur, tribunaux et tout le tralala.

UN JOUEUR CHIANT : Ah !!! Je comprends maintenant Lavon Ier. En fait tu parodie lev ….

MANUEL : Ferme-la crétin fini, tu ne vas quand même pas pourrir mon œuvre dès l’intro ?

UN JOUEUR CHIANT : Ok j’me réserve pour plus tard.


C’est ainsi que commence l’histoire, d’une parodie qui se joue d’un jeu qui imite l’histoire …

Tome V page 12

Ouais, déjà le tome V et la page 12. Non mais vous ne croyez quand même pas que je vais me casser le cul à raconter, enfin parodier tous les RP de tous les joueurs du jeu des royaumes renaissant, non plus ? Ou alors je serais publié, après ma mort. Enfin pas moi mais mes textes qui seront publier après ma mort … vous avez compris ? Bon. Voila, donc je vais vous épargner tous les RP, et toute l’histoire de France enfin du royaume de France mais dans le jeu des Royaumes renaissants. Vous suivez toujours ? Non ? La fronde ça vous parle ? Oui je m’en doutais, Compiègne I les artésiens et Champenois qui se tapent sur la tronche allègrement, sans que les acteurs derrière leur écran ne bougent le cul de leur clavier. Ou non plutôt ne bougent le doigt de leur chaise. Enfin bon sans qu’ils ne s’arrêtent de taper. Oui parque les royaumes renaissant, enfin je vais dire les RR par ce que il est 4heure 15 du mat et j’ai la flemme de l’écrire en entier. Donc dans les RR c’est en fait des personnages racontés par des joueurs. Quand les personnages tapent sur leurs ennemis, ce sont en fait les joueurs qui tapent sur leur clavier. Les nouveau qui connaissent pas ce jeu ça vous donne envie d’essayer hein ? Avouez !!! D’ailleurs quand j’ai dit RP, en fait c’est Rôle Play que ça veux dire. Oui petit ? Tu me demandes …. C’est quoi Rôle Play ? T’a qu’à traduire. Bon, comme je sens que vous en avez marre de lire mes petits commentaires, je vais reprendre l’histoire que je veux raconter. Et pour me faciliter la tache et ne pas trop me tromper en interprétant mal les RP des autres, je raconterais celle de mon perso. Oui oui moi aussi je joue à ce jeu fabuleux.

Tome V : [RP] Devoir de Noblesse et Vassalité

UN JOUEUR CHIANT : C’est quoi ces crochets ?

MANUEL : Des balises pour dire que je fais du RP, que je joue mon perso en quelques sorte.

UN JOUEUR CHIANT : C’est vraiment nul ce truc.

MANUEL : C’est pour faire la différance entre les propos du joueur et ceux du personnage. De toute façon c’est obligatoire, sinon les sucreurs font disparaître ton histoire dans les oubliettes.

UN JOUEUR CHIANT : Les sucreurs ? Tu ne veux pas dire les censeurs plutôt ?

MANUEL : (murmures) Chut trou du cul !!! Tu oublis les copyrights ? (tout fort) Non non, les sucreurs

UN JOUEUR CHIANT : ben ils sucrent vraiment n’importe quoi …

MANUEL : Bon je peu continuer ?


Page 12 : [Routes entre Troyes et Conflans-les-sens, Avril 1457]

UN JOUEUR CHIANT : ben ça existe pas Conflans-les-sens !

MANUEL : Tu va continuer à me faire chier encore longtemps ?

UN JOUEUR CHIANT : C’est dans ma nature

MANUEL : Et ben, on n’est pas rendu …


Sur le chemin un homme bien habillé et un jeune garçon vêtu comme un vagabond marchent sur les grands chemins.

SEIGNEUR MARCHAIS : Jeune plouc, Haste toi, nous arrivons bientôt à la fin de nostre voyage

JEUNE PLOUC : Seigneur Marchais, ça fait trois jours qu’on marche

UN JOUEUR CHIANT : Heu j’te coupe mais tu a bien dit seigneur Marchais ? Je croyais qu’il y avait un copyright pour tous ce qui touche les RR ? Tu aurais pu dire Seigneur Machalow.

MANUEL : tu rêves ! C’est mon perso, je m’autorise les droit d’auteur pour l’appeler par son vrai nom.

UN JOUEUR CHIANT : Et ton jeune page, c’est aussi ton perso alors, ton PNJ, pourquoi tu l’appelle jeune plouc ?

MANUEL : Par ce que j’en ai envie c’est tout. Je ne l’aime pas ce n’est pas ma faute non ? Bon maintenant me coupe plus.


SEIGNEUR MARCHAIS : Jeune plouc, attend moi ici, je dois aller me soulager.

JEUNE PLOUC : Oui mon maître

Le seigneur s’isole alors dans un sous bois. Le jeune page remarque au bout de la route deux hommes s’agresser.

JEUNE PLOUC : Seigneur Marchais, Il y a une tentative de brigandage ! Vous devriez intervenir !

SEIGNEUR MARCHAIS : Non.

JEUNE PLOUC : Mais maître, avec tout le respect que je vous dois, vous êtes tenu par votre titre de protéger les faibles.

SEIGNEUR MARCHAIS : Silence jeune sot. Quand ton seigneur pissoys, sache qu’il ne faut point le déranger dans ses efforts !

JEUNE PLOUC : …

Mais nous, lecteur, allons regarder ce brigandage de plus près.

BRIGAND : Bonjour messire c’est pour un brigandage.

VICTIME : Bien. Veuillez vous présenter en répondant oralement aux questions qui figurent dans ce formulaire.

Le manant lit alors le formulaire et reprend la parole.

BRIGAND : Alors, je suis Terreur_verte58634, j’habite à Vendôme dans le duché de la Touraine. J’ai un champ de cochon et un champ de vache, et je suis charpentier. Je suis de Niveau trois et le joueur qui me joue moi aime … Les Pokémons, les télétobizz Laurie et les œuvres complètes de Freud.

VICTIME : Merci. Vous êtes autoriser à me brigander

BRIGAND : Avec plaisir….. vous vous défendez pas ?

VICTIME : Non mon coefficient de combat est de 2 et le votre de 5, et dans mes option de déplacement, j’ai coché me défendre que en si mon adversaire est moins fort que moi.

BRIGAND : Ah ? Bon tant pis … (prenant ses bien) Quoi c’est tout ? un sac de maïs et un caillou ?

VICTIME : Heu oui

BRIGAND : Bon maintenant les caractéristiques

VICTIME : Hein ?

BRIGAND : Ben oui, c’est les codages, je dois t’affaiblir et te faire perde les caractéristiques.

VICTIME : Humm … bon va z’y mais pas trop fort.

BRIGAND : (donnant un coup dans le ventre de sa victime) voila pour la perte de force

VICTIME : Ouille

BRIGAND : Pour l’intelligence, voyons hum … ah oui (donne un coup de poing sur la tête de sa victime). Et pour finir, le Charisme (donne un coup de pied à travers du visage de sa victime) Voila, avec une gueule pareille maintenant tu dois plus avoir grand charisme hahaha !!!!

VICTIME : …

Retournons voir maintenant du coté de nos héros.

SEIGNEUR MARCHAIS : (remontant ses braies et rattachant son mantel) La vache que ça fait du bien !

JEUNE PLOUC : Vous auriez pu intervenir non ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Pas envie.

JEUNE PLOUC : En tous cas regardez, il vient vers nous à présent.

BRIGAND : Tien tiens ; un noble. Voila d’quoi m’remplir les bources

SEIGNEUR MARCHAIS : Faudra d’abord me passer sur le corps, maraud

BRIGAND : J’vais m’gêner mon bon seigneur !!!!

Aussitôt un rude combat s’entame. Le brigand tente une attaque avec un bâton sur le seigneur mais ce dernier pare le coup avec les mains. Grace à une prise dont il à le secret, il met à terre son agresseur. Ce dernier repart bredouille après s’être excusé à genoux.

JEUNE PLOUC : Vous ne l’avez pas tué ? Ni amocher ? Vous êtes souffrant maître ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Non rien à voir. Ca aurait été de moi il serait mort, ou dans un état critique. Mais c’est les codages, On peut pas faire de mal à un agresseur qui nous brigande. On lui pardonne automatiquement, contre sa volonté. Ils appellent ça le bisounoursisme.

JEUNE PLOUC : Et vous n’avez point usé de votre épée.

SEIGNEUR MARCHAIS : pas codée non plus pour les brigandages

JEUNE PLOUC : Ou va me monde

SEIGNEUR MARCHAIS : Je te l’fait pas dire. Mais ne te fais point de souci, regarde ce que j’ai réussi à lui prendre : ses papiers d’identités. J’ai tout dessus. Nom, lieux d’habitation, champs, âge, date de naissance, niveau, biographie, numéro de son permis de cheval. (fronçant les sourcils à sa lecture) Par contre y a un truc que je comprends pas …

JEUNE PLOUC : Quoi ?

SEIGNEUR MARCHAIS : c’est qui Laurie ?

Page 13 : [Taverne de Conflans-les-sens, plus tard]

MANUEL : Et si il y en a encore un qui me dit que Conflans-les-sens ça n’existe pas je l’étripe.

JEUNE PLOUC : Vous n’trouvez pas que ça fait du bien de faire une halte dans une auberge seigneur Marchais ?

SEIGNEUR MARCHAIS : (sur un ton sévère) Encore une remarque et je te pends par les boyaux sur la place publique. Nous sommes attendus et nous devons faire halte juste pour un servant qui n’est point capable de rester à jeun plus d’une semaine.

JEUNE PLOUC : …

UNE FEMME : (outré) Une semaine sans manger ? Vous ne vous faites pas chier monsieur. Et puis vous avez vu comment vous parlez à un enfant ? le pauvre petit trésor, si fragile. Vous allez le traumatiser. Il a besoin d’attention d’amour, d’affectivité de loisirs, de respect, de …

SEIGNEUR MARCHAIS : (agacé) Ferme ton museau femelle. Ce n’est pas une pécore de paysanne qui va me dire ce que j’ai à faire. Sais-tu seulement à qui tu ose parler ?

UNE FEMME : (remontée) Un macho ! Ouai, parfaitement môsieur. Croyez vous que les femmes se soient battues pour l’égalité des sexes pour se faire insulter par des types comme vous ? Croyez vous que l’on a fait mai 68 pour rien ? On est en démocratie ici môsieur !

SEIGNEUR MARCHAIS : Démocratie ? 68 ? Tu es folle à lier misérable gueuse. Je t’aurais bien coupé la langue pour ne point entendre tes propos hérétiques.

Un jeune homme entre alors dans la taverne.

JEUNE HOMME : Salut ! Coucou mon cœur !

UNE FEMME : Mon amourrrrr j’étais si triste de ne pas te voir. Je t’aiiiiime

Les deux s’embrassent sur la bouche, même qu’ils mettent la langue en plus…

SEIGNEUR MARCHAIS : …

JEUNE PLOUC : Beurk

L’homme caresse le dos de la femme.

SEIGNEUR MARCHAIS : …

JEUNE PLOUC : …

La femme prend la main de l’homme puis monte sur ses genoux.

SEIGNEUR MARCHAIS : …

JEUNE PLOUC : …

JEUNE HOMME : Je t’aime ma chérie

UNE FEMME : Moi aussi mon sucre d’amour

SEIGNEUR MARCHAIS : …

JEUNE PLOUC : …

UNE FEMME : Au fait, les bébés vont bientôt venir.

JEUNE HOMME : C’est vrai ? ça fait 8 mois maintenant.

UNE FEMME : Oui. Ce sera une fille et un garçon

SEIGNEUR MARCHAIS : (hausse un sourcil)…

JEUNE PLOUC : (écarquille les yeux, bouche béante)…

JEUNE HOMME : Oh des jumeau ? Quelle bonne nouvelle !!!

SEIGNEUR MARCHAIS : (mielleux) Vous voulez dire que votre femme, est engrossé d’un futur fillot et d’un futur fillote ?

JEUNE HOMME : C’est ça pourquoi ? Vous parlez de façon bizarre quand même.

SEIGNEUR MARCHAIS : Des hérétiques !!!!!! Ce sont des hérétiques !!! Jeune servant empresse toi d’aller recourir à un inquisiteur !!!

JEUNE HOMME : Holà calmez-vous. Tenez, il parait que la musique adoucie les mœurs

L’homme encastre alors une sorte de boule blanche dans deux trous du mur. Ce bout blanc est relié à une étrange cordelette, elle-même lié à une grosse boite. Une musique diabolique sort alors de cet instrument du sans nom.

SEIGNEUR MARCHAIS : C’est sorcellerie !!!!!!!!!

JEUNE HOMME : (haussant les épaules) Mais non c’est un juke box.

Mais le seigneur Marchais déjà dégaine son épée, et fracasse l’objet du malin. Puis d’un geste rageur, pointe son arme sur les deux hérétiques, qui fuient sans demander leur reste.

SEIGNEUR MARCHAIS : Partons. Quittons cette antre du sans nom. L’air est irrespirable ici.

JEUNE PLOUC : Oui seigneur Marchais. J’ai hâte d’être chez la baronne de mont-sur-rail et de val, de vau de … de …

SEIGNEUR MARCHAIS : De la ville morte, sot. La baronne de mont sur rail et de la ville morte, Maitresse de la grande maison des champs mourant, et ma suzeraine avant tout. Allons ne trainons point. Et je ne veux plus entendre parler d’une halte.

JEUNE PLOUC : Oui maître.

Page 14 : [Baronnerie de la Ville Morte, 3 jours plus tard]

JEUNE PLOUC : Heu vous êtes sur que vous allez transporter cela à Langres ?

SEIGNEUR MARCHAIS : C’est ma suzeraine qui me l’a demandé personnellement. Langres a besoin de fortifier ses remparts et il en faut du matériel pour ce faire.

JEUNE PLOUC : Oui mais quand même 230 quintaux de pierre, sans compter que vous transportez aussi vos affaires personnelles, 56 rames et deux barques …

SEIGNEUR MARCHAIS : Ben les barques me sont tombées sur la tête pendant une sieste, est ce de ma faute ? Elles sont à moi, donc je les ramène à Langres.et puis on à le droit dans les codages de transporter 255 marchandises de chaque denrée il me semble, alors je ne dépasse pas le plafond légal.

JEUNE PLOUC : Oui mais seigneur Marchais, ça va être un peu lourd pour vous non ? Même trop ? C’est impossible à transporter tout cela sans vous blesser.

Le seigneur Marchais réfléchis

SEIGNEUR MARCHAIS : Tes paroles sont pleines de bon sens jeune servants. Tu as raison. Il me serai dommageable de vouloir transporter toute cette charge moi-même. J’admire ta clairvoyance et ton courage de te proposer avec tant de spontanéité à faire cette besogne.

JEUNE PLOUC : Mais mais mais …

SEIGNEUR MARCHAIS : Tu es loyal et dévoué non ?

JEUNE PLOUC : …

SEIGNEUR MARCHAIS : Bon allons y, la route nous attend.

JEUNE PLOUC : Seigneur Marchais, vous ne craignez pas que des brigands ne tentent de piller vos bien ? ils pourraient tout vous prendre ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Bien sur, ou avais je la tête. Mais j’ai plus d’un tour dans mon sac vois-tu ? Regarde !

Le seigneur Marchais exhibe fièrement une feuille de parchemin.

JEUNE PLOUC : C’est quoi de truc, un morceau de papier ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Ignare, c’est un mandat. Un mandat ducal. Les brigands ne peuvent pas voler un bout de papier n’est ce pas ? Ca n’a aucune valeur donc ils ne le prennent pas.

JEUNE PLOUC : oui et alors ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Et bien jeune sot, il me suffis de mettre tous mes biens dans ce mandat.

JEUNE PLOUC : …

SEIGNEUR MARCHAIS : Regarde comme ça

Le nobliau accole alors le bout de parchemin sur le paquetage de 13,2 tonnes.

JEUNE PLOUC : (pas convaincu) C’est sur que comme ça, on ne peut pas deviner que vous transportez des choses de valeurs.

SEIGNEUR MARCHAIS : Et oui, en Champagne nous sommes toujours très ingénieux.

Page 15 [Taverne de Troyes, 2 jours plus tard]

MANUEL : Bon en raison de protestations et d’accusations de partialité et de favoritisme, le seigneur Marchais sera en vertu des règles de copyright, renommé pour cette parodie, le seigneur Machalow.

JOUEUR CHIANT : Ah ben c’est pas trop tôt

MANUEL : Toi ferme la avant que je t’en foute une.

JOUEUR CHIANT : Oh bon ça va hein ?


SEIGNEUR MACHALOW : Encore une halte en taverne. Cela deviens une habitude. Tu n’est vraiment pas bien solide.

JEUNE PLOUC : Seigneur Machalow, excusez moi d’être faible.

SEIGNEUR MACHALOW : Bon soit. On va trouver une solution au problème. Tavernier !!!!!!!

TAVERNIER : Oui noble seigneur ?

SEIGNEUR MACHALOW : Dite moi, y a-t-il moyen de vous acheter un canasson pour remplacer mon inutile servant ?

TAVERNIER : Ah que c’est bien possible noble seigneur. J’ai justement moi-même un beau bestiaux, bien robuste, et travailleur, vous ne pouvez pas imaginez.

SEIGNEUR MACHALOW : Parfais, votre prix sera le mien, mais attention, si est trop haut, je vous tranche la main.

TAVERNIER : Loin de moi l’idée de vous escroquer noble seigneur. Alors pour un bon cheval disons pour une vingtaine de jours la location, ce sera …. 3€00 par SMS, plus le prix d’un SMS.

SEIGNEUR MACHALOW : (écarquille les yeux) Comment ? je ne comprend rien

TAVERNIER : Oui noble seigneur, pour utiliser un cheval dans les RR, c’est un allopass. Vous avez bien un portable ?

SEIGNEUR MACHALOW : (le regard méfiant)… Vous parlez comme un hérétique

TAVERNIER : Bon heuuu, que direz-vous alors de 4 euro 50 ?

SEIGNEUR MACHALOW : (dégainant son épée) Les hérétiques ne doivent pas vivre.

TAVERNIER : Bon bon oui heuuu alors 4 écus et 50 deniers, noble seigneur !!!

SEIGNEUR MACHALOW : (rengaine son épée) Je préfère. C’est même très bon marché tavernier. Voila une offre généreuse. C’est bien rare mais très agréable de voir un pécore se soucier du bien être financier des nobles.

TAVERNIER : Allons bon arrosons tous cela !!!!!!!!!!

Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
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SEIGNEUR MACHALOW : *hips* Vous êtes *hips* complètement *hips* fou ? Autant de chopine *hips*de bière *hips* à me faire boire ?

TAVERNIER : Ah ben ça, si vous y avez oublié d’y cocher la chope, ci est pas ma faute à moi.
SEIGNEUR MACHALOW : Cocher *hips* une choppe*hips* ? tu tien des *hips* propos bien *hips* étrange.

TAVERNIER : Non non je vous assure, si vous cocher la petit image de choppe en haut à droite de votre fenêtre taverne, vous ne buvez plus de bière mais de la tisane. Les tavernes c’est bière ou tisane, au choix

SEIGNEUR MACHALOW : …

JEUNE PLOUC : (rigolant) C’est marrant seigneur marchalow, vous hipsez !

Le seigneur Machalow : refile un violent coup de poing, décrochant la mâchoire de son jeune serviteur. Ce dernier s’effondre sur le sol.

SEIGNEUR MACHALOW : ’est *hips* marrant petit *hips* impertinent, tu *hips* pissoy le *hips* sang. (à l’adresse du tavernier) Bon et *hips* toi sale escroc, *hips* je vais te régler *hips*... je … je …*hips* ….

Et le seigneur Machalow s’effondre sur la table, ronflant bruyamment.


Tome VI : [RP] La bataille de Langres

page 3 [Devant les remparts de Langres, après midi du moi d’août 1457]

SOLDAT : On va attendre encore longtemps ?

SEIGNEUR MACHALOW : je n’en sais rien. J’ai ouï dire que leur petite troupe n’était pas loin de nous, au sud, en Bourgogne.

JEUNE PLOUC : C’est un peu la même mission que lorsque vous avez intercepté le dangereux groupe des vers luisants, seigneur Machalow ?

SEIGNEUR MACHALOW : Exact. C’est aussi une mission d’interception, comme celle que la princesse Amora nous avais confié avec ces vils vers luisants.

SOLDAT : La princesse Amora ? Amora de Dijon ?

SEIGNEUR MACHALOW : De Dijon je ne sais pas mais c’est une bourguignonne en effet.

JEUNE PLOUC : Et vous acceptez des ordres d’une bourguignonne maintenant ?

SEIGNEUR MACHALOW : Non, c’est de la princesse de France que je les accepte, jeune sot.

SOLDAT : Et vous n’êtes pas inquiet des actions politiques des Bêtises de Cambrai ?

JEUNE PLOUC : Les Bêtises de Cambrai ?

SEIGNEUR MACHALOW : Les bêtises de Cambrai, c’est les mercenaires qui ont bourriné le château imbécile. Tu ignorais ça ? Et non je ne m’en souci pas pour l’instant. Le plus grand danger vient du sud.

JEUNE PLOUC : S’ils sont aussi nombreux que les vers luisants lorsque vous les avez arrêtés, ce n’est pas trop un danger

SEIGNEUR MACHALOW : Humm ils sont sensiblement plus nombreux cette fois. D’ailleurs je comprend pas pourquoi ont nous à ôté des soldats pour Dijon.

SOLDAT : pointant du doigt vers l’horizon) Maréchal, c’est cela que vous appelez sensiblement plus ?

SEIGNEUR MACHALOW : (regardant l’horizon) oh la vache !!!! Les bannières de nos ennemis sous une cinquantaine d’hommes. Mais c’est pure folie !!! on sera jamais assez nombreux. Jeune plouc, va vite mettre Cornette à l’abri au domaine Machalow.

JEUNE PLOUC : Mais Maître, vous allez mourir, laissez moi vous aider, j’ai un arc et …

SEIGNEUR MACHALOW : Protège ma fillote crétin !!! Et puis je préfère pas que tu nous aide, tu vise comme un pied. Je ne veux pas que tu massacre plus de soldats de notre armée. On est déjà tous vouer à une mort certaine de toute façon, pas besoin de l’accélérer.

SOLDAT : …

JEUNE PLOUC : Oui maître

Puis le jeune page s’enfuit en courant

SOLDAT : (tremblant) Maréchal, si vous voulez, je peux laisser votre page combattre. Vous savez, on n’a pas d’archer, ça peut aider un archer. Et je me chargerait de votre fille …

SEIGNEUR MACHALOW : Tu reste ici. On va mourir pour la Champagne, c’est une belle mort crois moi.

SOLDAT : (marmonnant dans sa barbe) moi je préfèrerais vivre pour le déshonneur de la Champagne mais bon …

SEIGNEUR MACHALOW : Plaît-il ?

SOLDAT : (pâle) Non non, rien, j’ai rien dit.


Page 4 [une heure plus tard]

Les hurlements des soldats sur le champ de bataille clamant force et honneur, le courage des vaillants champenois face à l’ennemi, la sueur coulant sur les visages crispés, déformé par la rage, le tout sur la symphonie les tintements des épées … est loin de la scène qui se déroule sous vos yeux. En fait imaginez 8 hommes chargés et piétinés par un troupeau de buffles enragées. Vous y arrivez ? Et bien c’est exactement cela. Piétinés, massacrés. L’armée de défense de langres a été une vraie mascarade. En vain, le seigneur Machalow hurle de tout cœur « ola vaillant soldats, tenez vous position, serrez les rangs !!!! pour le royyyyyyyy !!!!! » dont la traduction contemporaine serait proche de « pt’in les mec, héééé, hoooo héé ! Mais non, vous barrez pas !!!! Hééé ho me laissez pas tout seul !!! mamaaaan !!! », afin d’encourager les restes de ses troupes. Oui les restes de ses troupes et non pas le reste de ses troupes. Il y a une nuance que j’en suis sur, vous cernez très bien. Bref au final, le bilan est désastreux, mais le duché de Champagne veille bien à féliciter le courage de ces soldats, pour s’être sacrifiés, et précise que la champagne se porte très bien …. C’est hélas pas le cas de tout le monde. Le seigneur Machalow est fait secrètement prisonnier à l’écart du camp.

MYSTERIEUSE BRIGANDE : Es-tu en état de parler ?

SEIGNEUR MACHALOW : J’ai pris 23,7 coup d’épée dans le bide et sur la tête, mais sinon ça va, je peux parler.

MYSTERIEUSE BRIGANDE : Parfais.

JOUEUR CHIANT : Attend après tout ça, il n’est pas mort ? C’est truqué.

MANUEL : bienvenue dans les RR, ou mourir équivaux à 45 jour d’arrêt maladie.


La brigande interroge le seigneur Machalow pendant des heures, puis le laisse gisant sur le sol.

MANUEL : (hurlant) d’ailleurs à ce jour, RP parlant on l’a pas encore retrouvé mon seigneur bordel de merde !!! Quoi je gueule ? Oui et alors !!! J’ai le droit non ? ça fait 50 jour qu’il gis dans un bois de merde, avec une odeur de merde, des fournie de merde, des rapaces de merde et un soleil de merde, enfin si il attend l’hiver le soleil de merde le fera plus chier au moins. Mais bon, merde à la fin !!!

MANUEL : …



Page 5 [Marcher de Troyes, 2 jours plus tard]

Une baronne traverse la foule, à la recherche d’une petite tête. Le petit serviteur de son vassal est dans le coin avec sa fillote, lui a-t-on appris il y a quelques instants. Aussi elle cherche. Sans aucun doute au vu de la générosité du seigneur, le pauvre servant dois avoir tout juste de quoi se payer un grain de maïs. Soudain, entre deux tamago, elle l’aperçoit en compagnie de Cornette, la petite fillote de Machalow.

JOUEUR CHIANT : Heu comme ça au passage, c’est quoi un tamago ?

MANUEL : Un personnage joué par un joueur qui ne fait pas de RP, qui ne fait que le IG

JOUEUR CHIANT : IG ? j’ai rien compris

MANUEL : Ca ne m’étonne pas. Mais ne comptes pas sur moi pour t’expliquer, tu lis la fac le guide, tu va emmerder les autres dans « Je ne comprends pas » et tu me laisse poursuivre, c’est clair gros boulet ?

JOUEUR CHIANT : (murmures) Petit con ….


LA BARONNE ZIVA : Ah te voila, je te cherchais Jean.

JEUNE PLOUC : Oh ! Baronne de la vau, de vaaa

LA BARONNE ZIVA : De la ville morte et de mont sur rail. Inutile de répéter, tu as l’air idiot à bégayer ainsi.

JEUNE PLOUC : …

LA BARONNE ZIVA : Conte moi les mésaventures de ton maître, je suis fort inquiète à son sujet. Son armée ne donne plus signe de vie.

JEUNE PLOUC : Il m’a demandé de m’occuper de Cornette. Moi je préfère tirer à l’arc, je ne suis pas nourrice, mais il m’a traité de crétin, enfin comme d’habitude …

LA BARONNE ZIVA : Certes, mais mon vassal.

JEUNE PLOUC : … Et elle n’est pas facile parfois la gamine, elle n’a que cesse de réclamer son père, mais si je l’amenais vers lui, il, enfin son cadavre m’aurait tué …

CORNETTE : …

LA BARONNE ZIVA : (étonné) Son cadavre ?

JEUNE PLOUC : Ah heu oui, son cadavre. Enfin ils étaient très nombreux, et je crois que le seigneur Marchais, ne pouvais pas s’en sortir.

CORNETTE : (choqué) …

LA BARONNE ZIVA : (très inquiète) Pourrais-tu être plus précis Jean ?

JEUNE PLOUC : Et bien ils étaient 23 sur lui, enfin 24 si on compte un nabot de 3 pied de haut …

LA BARONNE ZIVA : (agacé) un peu comme toi …. Abrège

JEUNE PLOUC : (hurlant) Il l’ont tous transpercé !!!!!! Il pissoyait le sang, il y en avait partout !!!!!!

CORNETTE : (tétanisée) …

LA BARONNE ZIVA : (gênée) Heu petite cornette, tu veux pas t’acheter une jolie pomme bien juteuse ?

CORNETTE : (tétanisée) …

LA BARONNE ZIVA : (encore plus gêné) il y a un étal la bas, je te donne les écus nécessaire et …

JEUNE PLOUC : (étonné) je crois qu’elle est bloquée. Ça arrive parfois en taverne.

LA BARONNE ZIVA : (soupirant) je crois surtout que tu as été légèrement maladroit (murmurant pour elle-même) pour ne pas dire totalement abrutis.

JEUNE PLOUC : ah.

UN TROYEN : Hey salut Ziva,

LA BARONNE ZIVA : (fâché) Toi, parles moi encore avec cette familiarité et je peux t’assurer que je me chargerais de te faire connaître le mot noblesse d’une façon que tu n’apprécieras surement pas.

UN TROYEN : (penaud) Mes excuses, noble dame.

LA BARONNE ZIVA : Pourquoi viens tu me parler ?

UN TROYEN : Rien, pour faire la conversation … Tien par exemple j’ai vu votre vassal, le seigneur Machalow tout à l’heure.

LA BARONNE ZIVA : Comment ? c’est impossible ! Vous avez trop bu mon cher

UN TROYEN : Si si, sur Mésange

JOUEUR CHIANT : Mesa…

MANUEL : (coupant la parole) La ferme.


LA BARONNE ZIVA : vous êtes bon à enfermé

UN TROYEN : Mais je vous assure baronne que

LA BARONNE ZIVA : Continuez à raconter n’importe quoi sur mon pauvre vassal et je vous fais enfermer.

Le Troyen s’enfuit alors aussi vite qu’il le pu

LA BARONNE ZIVA : Bon quand à toi Jean, prend Cornette avec toi et file au domaine de la ville morte.

JEUNE PLOUC : Oui baronne de …de … heu … oui madame. Aller, venez demoiselle Cornette, il est temps d’y aller.

CORNETTE : …

JEUNE PLOUC : Demoizelle Cornette ?

CORNETTE : …

Le jeune plouc saisie alors la petite fille et la porte sur ses maigres épaules.

LA BARONNE ZIVA : Veille à ne pas te faire du mal en la portant Jean.

JEUNE PLOUC : ça va, j’ai l’habitude. Mon maître ma fait porter plus de 13 tonnes de marchandise il y a peu.

LA BARONNE ZIVA : (choqué) …


Page 6 [Baronnerie de la Ville Morte, le lendemain]

JEUNE PLOUC : Nous voici arrivé maîtresse. Vous allez pouvoir aller vous dégourdir les jambes. (murmure) Et moi être enfin tranquille.

CORNETTE : Z‘veux pas. Z’veux papa !

JEUNE PLOUC : (blasé) Votre père, heu à fort à faire en ce moment.

CORNETTE : Z’veux papa

JEUNE PLOUC : (toujours blasé) il est à Langres vous savez il doit, gérer ses terres.

CORNETTE : Menteur il est pas à Langres !!! Z’veux – mon- pa - pa !!!

JEUNE PLOUC : (encore blasé) Oui bon ben papa est occupé à enlever les 23 épées qui lui transpercent le corps. Il reviendra une fois qu’il se sera décloué du sol. Même si c’est dans une grande boite en bois. Mais je te le promet. La Baronne Ziva va le chercher.

CORNETTE : (boudeuse) Z’veux maman.

JEUNE PLOUC : (murmure) Elle ne s’arrête jamais … (plus fort) Votre maman, elle a … hum crevée dans un incendie, ou alors heu par une maladie, ou par saignée. En fait votre père a eu tellement de femme que j’ai du mal à me souvenir lesquelles sont morte de quoi.

CORNETTE : (en larme) bouuuahhhhhhhhh ouuinnnnn ma maman !!! mon papa !!! maman !!! mon papa !!! ma maman !!! mon papa !!! ma maman !!! mon papa !!!

JEUNE PLOUC : (se retirant discrètement) ben heu je vais vous laisser à vos occupations demoiselle Cornette.

CORNETTE : Nan !!! Z’veux pas. Z’veux toi.

JEUNE PLOUC : Heu mais …. (tout bas) c’est bien la fille à son père, à me faire chier comme ça. (plus haut) Mais demoiselle Cornette je ne vous serais que d’un grand ennui.

CORNETTE : Reste, sinon ze dit à papa que tu m’as touché.

JEUNE PLOUC : (effrayé) Ahhh !!! Non non non non !!! chuuut !!!! Ne lui dite rien !!!(murmure) En même temps il est mort le grincheux, mais quelle sale petite menteuse celle la (tout haut) je suis disponible à votre service ô ma grande maîtresse.

CORNETTE : Chante-moi une chanson !!!

La petite fille saute sur les genoux du jeune servant.

JEUNE PLOUC : (tout bas) génial. Je vais avoir l’air d’un con une fois de plus.

Le jeune servant se met alors à chanter gaiement à tue tête.

JEUNE PLOUC : Mon petit oiseauuuu, a pris sa volééééé… a pris sa … a la volette, a pris sa voléééé. Vilaine petite peeeeeste … pourquoi m’emmerdeeeer … vilaine …

CORNETTE : Hé, mais c’est pas ça !

JEUNE PLOUC : Heu mais si c’est les paroles, la suite de la chanson, je vous assure, maîtresse. Vous la chanterez à votre père lors de son enterrement, je suis sur qu’il sera ravis.

Mais le jeune page n’eu le temps de terminer sa phrase qu’une statuette de marbre lui vole au dessus de la tête, manquant de lui fracasser le crâne d’un demi pouce, pour finir encastrée dans le mur.

SEIGNEUR MACHALOW : Comment ose tu toucher la fillote d’un noble avec tes sales mains, misérable petite bouse.

JEUNE PLOUC : Seigneur Machalow … je …tu … je … enfin … heu … vous êtes vivant ?

CORNETTE : (accourant dans les bras de son père) Papa !!!!!!!!! (une fois dans ses bras) tu sais, zean m’a appris une très zolie chanson, tu veux que je te la chante ?

JEUNE PLOUC : (paniqué) Non !!!! Non !!!! Non maîtresse !!! Votre père doit être fatigué et... .Mais maître comment se fait t’il ? Vous étiez disparus au combat et la baronne de vau de ver de …. Enfin la baronne vous cherche en ce moment.

SEIGNEUR MACHALOW : (reprenant son calme) ha heu … non mais en fait je suis toujours mourant la bas, et on va sans doute venir me chercher. Enfin j’espère que l’on va venir me chercher. Par ce que si on ne viens pas me chercher, ça va quand même être chiant pour moi. Avec les mouches et les fourmis qui vont rappliquées. Donc il est primordial de venir me chercher.

JEUNE PLOUC : Je vous me faite peur. Maître, c’est impossible, c’est diablerie. Vous ne pouvez pas être ici et la bas ? Non, vous ne pouvez pas être ici et la bas ? Vous ne pouvez pas être ici et la bas !

SEIGNEUR MACHALOW : Ho ! Débloque !!! Il se trouve que, les élections ducales approchent et que je suis sur une liste, et bien placé en plus (murmurant dans ses dent) Bien que la baronne a mis son époux devant son vassal, tssss. (reprenant plus fort) Alors je me dois d’être présent aux réunions même si je suis mourant sur le champ de bataille. De plus je suis IG bloquer comme un con à Langres pour 45 jours, à chaque fois que je parle, ça dois être entre parenthèse, en HRP, pour pas trop choquer les gens qui savent que je suis pas avec eux en fait.

JEUNE PLOUC : (blème) …

SEIGNEUR MACHALOW : Bon avec toi je met pas de parenthèses (murmurant) de toutes façon, il ne comprend rien à rien celui la.

JEUNE PLOUC : (toujours blème) …

SEIGNEUR MACHALOW : C’est pas tout mais j’ai un cour à donner à l’université de Reims dans une heure. Tu m’accompagnes.

JEUNE PLOUC : (choqué et perdu) Mais on est à 5 jour de la capitale … et puis comment vous accompagner puisque vous … n’êtes pas la ?

SEIGNEUR MACHALOW : Ca passera, je suis près à provoquer des incohérences pour la gloire et les écus. Et puis même absent, tu restes mon sous fifre alors tu m’obéis. Sinon mon pied dans ton derrière, tu le sentiras bien présent crois m’en.

MANUEL : Avant de la terminer, j’ai volontairement fait allusion à trois films ou série télévisée sur cette page. J’offre un verre de tisane ou mon corps suivant le sexe du gagnant, à qui trouve le premier ces trois films. Mp autorisé.

JOUEUR CHIANT : (fier) Moi j’ai déjà trouvé

MANUEL : Ouai, mais les boulets n’ont pas le droit de jouer. Dommage pour toi

JOUEUR CHIANT : (marmonnant) Pauvre con.


Page 7 [Taverne de conflant les sens, quelques heures plus tard]

JOUEUR CHIANT : C’est moi ou ils ne passent que dans cette taverne ? Et les autres ?

MANUEL : J’t’en pose des questions ? Peut être que la bière y est meilleure …

Le seigneur et son servant entrent dans la taverne.

CLIENT 1 : (a l’adresse de l’homme) S’lut manu.

JEUNE PLOUC : (à voix basse) Vous le connaissez maître ?

SEIGNEUR MACHALOW : (a voix basse) Non. (plus fort) Holà miséreux, comment connais tu mon nom ? Et déjà c’est seigneur Machalow pour votre gouverne.

JEUNE PLOUC : Ouai d’abord j’te f’rait dire. Alors joue pas au plus malin avec moi sinon mon maitre il va te pourrir la tronche que même ton miroir il te reconnaitra plus.

SEIGNEUR MACHALOW : (regardant sévèrement son servant) T’a fini oui ? Faut te calmer.

CLIENT 1 : Ben facile, ton nom il est marqué au dessus de ta tête.

SEIGNEUR MACHALOW : (regardant le plafond) Je crois pas non.

CLIENT 1 : Si dans le cadre jaune ou on voit ta tête, au dessus en rouge, y a marquer manu95.

SEIGNEUR MACHALOW : Je crois que c’est toi que je vais pas encadrer. Et crois moi si tu continus à me prendre pour un imbécile, à parler de cette façon à un noble comme moi, je ne donne pas cher de ta peau.

CLIENT 1 : Oh ça va hein ? De toute façon c’est aussi marquer sur ta fiche.

Mais le jeune client se retrouve la tête décollé des épaules avant même d’avoir eu le temps de dire ouf.

CLIENT 1 : Ou…. Splllatch.

SEIGNEUR MACHALOW : (rengainant son épée) Il commençais à me courir sur le haricot.

JEUNE PLOUC : J’ai vu ça maître. Dites moi, pardonnez mon indiscrétion mais vous avez deux filles n’est ce pas ? Cornette la benjamine et Isaurus rex la plus vielle ?

SEIGNEUR MACHALOW : Alors non je ne te pardonne pas et oui Cornette est la plus jeune, et Isaurus Rex est la plus vielle. Mais j’ai point fillote qui s’appelle benjamine, tu divagues.

JEUNE PLOUC : Alors comment expliquer que Isaurus rex aie 5 ans, et Cornette 6 ans ?

SEIGNEUR MACHALOW : Ben juste qu’elles ne grandissent pas à la même vitesse, rien de plus simple.

JEUNE PLOUC : (choquer) …

CLIENT 2 : kikouuuuuuuuuuuuuu !!!!!!!!!!!!!!! lol !!!!!!!!!!!!!

SEIGNEUR MACHALOW : (sursautant) C’est qui ? C’est quoi ? A l’attaque !!!!!!!!!!

JEUNE PLOUC : C’est juste un client qui entre maître.

CLIEN 2 : lol

SEIGNEUR MACHALOW : (blasé) Voila autre chose. Qu’est ce qu’il dit ?

JEUNE PLOUC : Je ne sais pas, c’est incompréhensible.

CLIENT 2 : lol

SEIGNEUR MACHALOW : Il se moque de nous ?

JEUNE PLOUC : Non je pense qu’il parle un dialecte des contrées du nord. Sans doute ce jeune et fougueux visiteur cherche t’il à communiquer avec nous ?

CLIEN 2 : lol

SEIGNEUR MACHALOW : Il refait toujours le même couinement.

JEUNE PLOUC : Il est peut être bloqué, ou ne sait dire que cela.

CLIENT 2 : lol tp cool.

JEUNE PLOUC : Ah non, tien. Il change sa phonétique.

SEIGNEUR MACHALOW : (dégainant son épée) c’est un angloys ?

JEUNE PLOUC : Je crois qu’il vient en paix.

CLIENT 2 : lol jm tp c je. Coool é vs ?

SEIGNEUR MACHALOW : Par ce que tu arrive à comprendre qu’il vient en paix dans ses grognements ? Si ça se trouve il m’insulte.

JEUNE PLOUC : J’admet maître ne rien comprendre. Je ne parle pas sa langue.

CLIENT 2 : looooool ta k HT l’dico sms.

SEIGNEUR MACHALOW : Je sens qu’il va rejoindre l’autre crétin dans l’au-delà.

JEUNE PLOUC : (souriant) Vous aurez fait aujourd’hui plus d’exercice que d’habitude maître

CLIENT 2 : lo…

Mais le jeune crétin n’a pu finir ses bafouilles, et une tête supplémentaire roule sur le sol.

SEIGNEUR MACHALOW : Faudra songer à astiquer ma lame.

JEUNE PLOUC : (choquer) Vous voulez dire nettoyer votre épée ?

SEIGNEUR MACHALOW : (suspicieux) Oui … que veux tu que ce soit d’autre ?


Page 8 [Reims, 4 jours plus tard]

Sur un tonneau, un manant les mains en porte voix s’adresse à la foule. Musclé, 2m20 couvert de cicatrices, un œil en moins, vêtu d’un scapulaire violet pétant et d’un bandana rose bonbon hurle.

INCONNU : Hahahaha mouahahahaha. Tremblez pauvres champenois !!!! Tremblez devant le fléau qui arrive. Moi grand maître de l’armée des obscures lumières noires ; demi démon par alliance avec une catin à la jambe de bois, et fils de mes deux parents, vous conseille de fuir la Champagne. Car la grande armée va venir piller bruler répandre le sang, de vos enfants, par la force de leur épée, de leur méchanceté et de leur puissance du coté obscur de la … de la … du sans nom. Tremblez car la famine vous guettera. Inclinez vous à moi ou mourrez. Joignez vous à moi … enfin à nous, croyez pas que je suis tous seul surtout. Non surtout ne le pensez pas parce que je ne suis pas tous seul. Mais si je suis seul à parler comme un con, en fait j’ai plein de gens derrière moi, on est très nombreux… par exemple, il y a … il y a … y a moi, et même que j’ai une épée. Et puis il y a …. Plein de … hum PNJ … Mais oh attention il n’y pas que eux. On est des milliards en fait. et c’est même pas des multi comptes … enfin … y en as c’est pas des multi comptes … et … hem … Mouahahahahahahaha tremblezzzzz pauvr... arrrg…..

L’homme est passé en deux seconde de debout sur un tonnel, à allonger sur le sol une flèche entre les deux yeux.

SEIGNEUR MACHALOW : Bien visé mon jeune servant

JEUNE PLOUC : Vous trouvez ?

SEIGNEUR MACHALOW : Oui je t’assure, une flèche entre les deux yeux, à cette distance, c’est un coup de maître.

JEUNE PLOUC : Sauf que …

SEIGNEUR MACHALOW : Sauf que quoi ?

JEUNE PLOUC : Ben je visais les bources, c’est plus marrant une flèche dans les bources

SEIGNEUR MACHALOW : (soupirant) je retire ce que j’ai dit, tu es définitivement un nullard, un loser.

JEUNE PLOUC : Vous parler angloys maintenant ?

SEIGNEUR MACHALOW : T’en fais pas, je m’en confesserais.

JEUNE PLOUC : Qu’est ce qu’on fait du cadavre seigneur Machalow ?

SEIGNEUR MACHALOW : Rien, la prévôté l’arrestera, la justice le jugera et il croupira dans une geôle. La routine quoi.

JEUNE PLOUC : Et nous, que faisons nous ?

SEIGNEUR MACHALOW : Je termine mes cours et on rentre à Langres… toi tu retournes à ville morte bien sur

JEUNE PLOUC : Pourquoi ?

SEIGNEUR MACHALOW : Ils ne devraient pas tarder à retrouver mon corps la bas, alors faut pas que j’soit à la bourre. Sinon le RP va encore plus trainer qu’il n’y parait.

MANUEL : hein n’est ce pas ?

SEIGNEUR MACHALOW : Et puis, le conseil ducal, m’attend. Bientôt

JEUNE PLOUC : vous visez quel poste ?

SEIGNEUR MACHALOW : La diplomatie. J’ai toujours été doué dans ce domaine. Privilégier le dialogue quel qu’en soit la situation.

JEUNE PLOUC : (dans sa barbe) Pauvre Champagne.


FIN

JOUEUR CHIANT : Ca y est, c’est fini ?

MANUEL : Ouai.

JOUEUR CHIANT : Enfin. Ça commençait à devenir vraiment chiant.

MANUEL : Dit plutôt que tu n’as rien compris.

JOUEUR CHIANT : Si, mais y avais vraiment pas de quoi rire.

MANUEL : Ben tant pis, moi qui pensais faire une suite un jour ou l’autre.

JOUEUR CHIANT : Ah ben te fatigues pas à nous imposer cette souffrance.

MANUEL : tu sais quoi ?

JOUEUR CHIANT : Non ?

MANUEL : Ben je serais mon personnage, je t’aurais déjà décollé la tête de tes épaules.

JOUEUR CHIANT : J’ai pas compris

MANUEL : Ca me rassure. Ca ne viens pas alors de mon texte ta non-hilarité. C’est simplement que tu es définitivement abruti.

JOUEUR CHIANT : …



Cette fois c’est VRAIMENT la FIN


Crédit :
L’auteur tien à remercier pour avoir été sa source d’inspiration sans qu’il ne le sachent :

La Baronne de Villemor et de Montmirail Siva, dans le rôle de la baronne de ville morte et de mont sur rail Ziva

Corneillie dans le rôle de Cornette

Jean Lesseau, dans le rôle du Jeune plouc

Le seigneur Marchais dans le rôle du seigneur Machalow
(enfin bon il est pa facile de faire un tournage avec un abruti pareil.)


SEIGNEUR MARCHAIS : (louchant de colère) Comment ?????

MANUEL : heu non non rien, noble seigneur Marchais, rien rien.

Mais aussi tous ces personnages bisounours sans qui le monde des RR seraient un eternel bain de sang, et ces quelques gentils boulet sans quoi les RR seraient dénué d’anachronisme d’illogisme et de confusion RP/HRP.
Femme 1
Jeune Homme 1
Tavernier
Clien1
Clien2
Inconnu

Sans oublier nos méchants brigands sanguinaires ou autre organisations louches, sans lesquelles, le monde des RR serait une pensée 21ème siècle, et totalement peace and love :
Terreur_verte58634
Mystérieuse brigande.

Et enfin certain personnages auquel j’ai fait allusion, qui animent l’histoire des RR :
Levan III
Armoria
Les bourrins de Cambrai
Les lucioles
Isaure
Corneillie

Pour finir Merci à notre LJD Lévan, (attention c’est pas Lévan IIII c’est son joueur, enfin si certain n’ont toujours pas compris après une parodie longue de 22 pages word, police 12, time new roman avec marge 2.5 à gauche, droit haut et bas, et avec une interligne de 1 cm, alors j’y peux plus rien), pour ce magnifique jeu.



FIN (je l’ai déjà dit je sais)


La suite bientôt, sur votre écran, après le codage de la V4 des routes maritimes(ah , c'est déjà codé maintenant ?), du Niveau 5 et des bananes.
Corneillie
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Dim 31 Mar - 3:04
La parodie écrite des royaumes renaissants ???
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Mer 10 Avr - 23:02
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La parodie écrite des royaumes renaissants ???
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