Domaine de Charles-Antoine d'Appérault-Frayner
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Manu95
Manu95
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[PARODIE] Les Royaumes Redondant II Empty [PARODIE] Les Royaumes Redondant II

Dim 7 Nov - 23:20
Après son premier succès sortis au château de Reims, en voici venus le second volet,

LA DUCHESSE ZIVA : Machalow, vous serez connétable, c’est décidé.

Les royaumes Redondant II.

Cette fois, nos deux antis héros, le seigneur Machalow et son jeune plouc, vont affronter les joies du conseil ducal dans une nouvelle aventure, avec son lot de combats …


CAPORAL : Bon bon. Mais deux armés pour 5 pécores, ça ne fait pas beaucoup ?

… de courage …

SOLDAT 2 : Tu reveux une chopine ?

SOLDAT 1 : Et comment, santé et gloire aux louveteaux !!!.

... D’anachronismes…

LE PROCUREUR : Le bidet, oui, notre service de pistage par satellite de toutes personnes circulant sur le sol Champenois. Nous vous avons localisé ainsi.

… D’autoritarisme …

SEIGNEUR MACHALOW : Il me semble vous avoir répéter d’éviter la bibine pendant le service.

...De concience professionnelle...

JEUNE PLOUC : Alors, devons nous dès à présent leur envoyer une missive ?

SEIGNEUR MACHALOW : Après la sieste jeune servant.

... De rebondissements ...

DOUNIERE : Nous avons arrêsté une chose pour le moins répugnante. Une sorte de masse sanguillonante relié par une sorte de cordelette à une petite forme de vie primitive, on dirait un bébé miniature.

Et de gentils petits boulets bien sur

CLIENT : ben vous chuchotez, et ça fait du bleu.

Revivez la folle période de l’été 1457 en retrouvant des personnages des royaumes redondant 1 tel que la duchesse Ziva, mais aussi de nouveaux comme la duchesse du fromage de Brie, dans cette somptueuse parodie écrite.

Bientôt sur votre écran de PC, sur le forum du conseil de Champagne et ici sur la Gargote.

Les Royaumes redondant II
Conseil Ducal

Sortie prévue le 21 janvier 1458 ... heuuu 2010
Manu95
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[PARODIE] Les Royaumes Redondant II Empty Re: [PARODIE] Les Royaumes Redondant II

Dim 7 Nov - 23:21
Les royaumes redondants II©

Un conseil ducal




Introduction … de quoi ? Hé bé, vous verrez bien…

An de grâce 1452. La guerre de 100 ans vit ses dernières années. Charles VII le victorieux, sur le trône du royaume de France, touche à l’apogée de sa puissance. Il a enchainé reconquête sur reconquête et a repris bon nombre de territoire français comme le Maine la Normandie, et une partie du sud ouest. Toutefois, Une expédition conduite par Talbot, anglais, reprend Bordeaux avec l'aide de la population en octobre 1452. Mais un évènement va perturber de façon irrémédiable la cour de l’histoire. Un coup d’état, minutieusement préparé, que les historiens se porteraient à croire œuvre de sorcellerie, détrône Charles VII, qui se retrouve exécuté sans aucune forme de procès, avec l’ensemble de ses vassaux. C’est ainsi que Lavon Ier monte sur le trône, fait exterminer toutes la population de son nouveau royaume, afin d’y installer son peuple. Une nouvelle aire vient de démarrer. Une aire ou le maïs apparaît pouf pouf comme du pop corn (oui je sais c’est bidon). L’aire des Royaumes redondants ….

UN JOUEUR CHIANT : Alors la, bravo. Non franchement bravo. Ton intro est vraiment très … originale. On peut dire que tu t’es décarcassé.

MANUEL : …

UN JOUEUR CHIANT : Ah …mais … heu je dois dire, que j’ai l’impression d’avoir déjà entendu une intro similaire. Ah oui, c’est mot pour mot ta première intro, je me trompe ? Tu n’as rien foutu que de faire du copier collé feignasse ….

MANUEL : Certes, même intro, mais surtout, même abrutis qui me fait chier dès le début.

UN JOUEUR CHIANT : …


C’est ainsi que se poursuit l’histoire, d’une parodie qui se joue d’un jeu qui imite l’histoire …


Tome XII : [RP] Allégeance

Page 1 [dans le bureau du manoir du domaine de la seigneurie du fief de Machalow]

Le seigneur Machalow se dois de répondre à une vielle amie, lui ayant demandé de transmettre ses hommages à la nouvelle duchesse de Champagne, la fraichement élue duchesse Ziva.

« Salut duchesse Dodoche

C’est nous qu’on à gagner les élections, c’est nous qu’on à eu plein de voix de la populace et la baronne, enfin duchesse Ziva est sur le trône de champagne. Un soulagement. Bon je lui ai transmis comme tu me l’as aimablement demandé tes vœux d’allégeance de bonheur et patati patata. La duchesse Ziva à été ravie et sollicite même ton éternelle générosité pour faire don d’un petite somme agréable à son plus vieux et plus fidèle vassal, le seigneur Machalow. J’te jure elle l’a dit pendant la cérémonie, sur la vie de ma mère.

Tchao duchesse Dodoche
Ton p’tit pote Machalow »

JEUNE PLOUC : (levant sa plume) Vous pensez que c’est correct cette façon de parler à une grande duchesse ?

SEIGNEUR MACHALOW : Holà, tu me critiques maintenant ? C’est une bonne amie à moi, alors je peux me permettre. Cesse de me rabaisser, et n’oublie point que de nous deux, c’est toi le sous-fifre. Déjà que je suis couvert de honte de ne pas savoir écrire aussi bien que toi.

JEUNE PLOUC : (penaud) Navré mon maître, je ne recommencerais plus. Mais vous êtes sur de vouloir un poste de chambellan ? Vous n’êtes pas un négociateur très diplomate à la base, alors si en plus vous ne savez pas écrire …

SEIGNEUR MACHALOW : Tu ne connais rien à mes plans petit imbécile. La diplomatie je l’exercerais à ma façon. Par exemple en allant soudoyer les joinvillois à devenir champenois.

JEUNE PLOUC : (haussant les épaules) Vous risquez de vous attirer des ennuis ainsi.

SEIGNEUR MACHALOW : (fronçant les sourcils) Ne t’avais-je point dis de la fermer ?

JEUNE PLOUC : désolé …

Page 2 [dans la salle des conseillers ducaux, plus tard]

SEIGNEUR MACHALOW : (s’inclinant) Ma baronne toutes mes félicitations pour cette élection.

UN CONSEILLER DUCAL : (murmure) Pssst seigneur Machalow, il vous faut maintenant dire « votre grâce », elle n’est plus baronne votre suzeraine.

SEIGNEUR MACHALOW : (révolté) Votre grasse ? Mais c’est insultant ! Je ne me montrerais jamais aussi vulgaire en affublant ma suzeraine d’un blessant « votre grasse ».

LA DUCHESSE ZIVA : (hausse un sourcil) …

UN CONSEILLER DUCAL : (sec) C’est ainsi que l’on doit appeler une duchesse. Tout le monde icelieux doit s’y plier, et seigneur Machalow, vous ne ferez pas exception.

SEIGNEUR MACHALOW : (irrité) Cela reste insultant, rendez vous compte des conséquences avenir que puis avoir cet appellation ? Votre grasse … non mais, comme si notre duchesse s’empiffrait du matin au soir.

UN CONSEILLER DUCAL : La n’est pas la question. C’est le protocole et …

SEIGNEUR MACHALOW : (lui coupant la parole) Fort à parier que dans 5 à 6 siècles, l’ensemble des françoys seront complexés par leur silhouette. Nos descendants se verront toujours trop gros, trop obèse, et leur société tournera uniquement autour du paraître, de normes physiques draconiennes, ou devenir toujours plus mince sera une obsession pathologique ….

LA DUCHESSE ZIVA : (fonçant les sourcils) Machalow !

SEIGNEUR MACHALOW : (s’emballant) Une société malade, ou les jeunes filles seront mal dans leur peau, se trouveront jamais assez belle comparées aux photographies truqués de leur idoles mannequins, dont les mensurations se rapprocherons d’un coton tige. Une souffrance physique mais aussi psychique, ou l’anorexie leur volera la vie. Rendez-vous compte que …

LA DUCHESSE ZIVA : (fronçant les sourcils) Machalow cela suffis ! Votre langage est odieux pour ne pas dire trempé d’hérésie ! Ne dites plus mot, ou c’est l’inquisition qui vous attend !

SEIGNEUR MACHALOW : (se reprenant) Mes excuses ma suzeraine. Si votre grâce pouvait oublier mes dernières paroles, j’en serais fort aise.

LA DUCHESSE ZIVA : Très bien Machalow. Bon maintenant, voici la répartition des postes. Mon vassal, qu’avez-vous déjà émis comme souhait ? Juste pour savoir si j’ai rêvé ou non.

SEIGNEUR MACHALOW : (tout bas) Chambellan …

UN CONSEILLER DUCAL : (éclatant de rire) Vous ? Chambellan ? Je ne vous savais pas aussi blagueur seigneur Machalow ! hahaha !

SEIGNEUR MACHALOW : (vexé) Je ne vois pas en quoi je serais blagueur. J’aime la diplomatie, il n’y a rien de mal à aimer la diplomatie, non ?

UN CONSEILLER DUCAL : (plié en deux) Vous diplomate ??? Mouahahahahaha !!! Mais vous ne souhaitez qu’une chose, c’est massacrer tous ce qui n’est pas champenois !!! Bourguignons, artésiens, Chiens, chat, arbres, cailloux, bref, vous n’aimez ni rien ni personne !!!

SEIGNEUR MACHALOW : (rouge de colère portant la main sur le paumeau de son épée) Tu veux peut être vérifier si je n’aime personne trou du cul ?

LA DUCHESSE ZIVA : (tapant du poing sur la table) Arrêtez !!! Vous me faites honte d’être votre duchesse. Machalow, c’est une évidence que vous ne serez jamais un bon diplomate et encore moins chambellan, votre caractère n’étant pas compatible avec ce poste. Et vous ne savez même pas écrire. J’ai ouï dire que c’est votre jean qui écrit vos missives.

SEIGNEUR MACHALOW : (murmurant à lui-même) Sale petit rapporteur de page, il ne paye rien pour attendre ce crétin.

LA DUCHESSE ZIVA : (reprenant sur un ton plus posé) Machalow, vous serez connétable, c’est décidé.

SEIGNEUR MACHALOW : (dépité) Génial …

Page 3 [Bureau du connétable, 2 jours plus tard]

JEUNE PLOUC : Vous vous en sortez ?

SEIGNEUR MACHALOW : Non. (buvant un coup) Pouahhh, c’est immonde !!!, qui à osé me servir un breuvage aussi infecte ?

JEUNE PLOUC : (blasé) C’est un encrier remplis d’encre maître.

SEIGNEUR MACHALOW : (vexé) Ah … heu , et pourquoi y faire tremper une plume ? Ca ne sert à rien une plume, ça ne se mange pas.

JEUNE PLOUC : (encore blasé) pour écrire.

SEIGNEUR MACHALOW : C’est donc cela l’écriture ?

JEUNE PLOUC : (toujours blasé) Heu oui

SEIGNEUR MACHALOW : Bon et bien il parait que connétable c’est une tache qui demande à souvent écrire, tu va donc avoir du pain sur la planche

JEUNE PLOUC : (surpris) Comment cela maître, vous n’y pensez pas ?

SEIGNEUR MACHALOW : (menaçant) Ho que si, tu écriras pour moi, et tu as intérêt à garder cela pour toi, sinon je t’étripe.

JEUNE PLOUC : bien maître.

SEIGNEUR MACHALOW : Parfais, bon mon prédécesseur à t’il laissé une note pour m’aider à prendre mes fonctions ?

JEUNE PLOUC : Oui.

SEIGNEUR MACHALOW : Qui dit t’il ?

JEUNE PLOUC : « Je suis pas la, bon courage, j’ai trop la flemme de t’écrire un état des lieux, démerde toi ma poule »

SEIGNEUR MACHALOW : (furieux) Quel crétin, et ça nous avance guère.

JEUNE PLOUC : Sinon il y a un vieux guide poussiéreux.

SEIGNEUR MACHALOW : Ah voila qui est intéressant, tu me le lit ?

JEUNE PLOUC : « La connétablie pour les nul »

SEIGNEUR MACHALOW : (irrité) Ca commence déjà fort

JEUNE PLOUC : « Donc pour l’IG seulement. Pour les mandats, passez par la V2. Pour les enveloppes au prévôt, passez par la V3. Attention, il y a un bug dans l’achat des marchandises pour la V2 et V3. Pensez à faire bosser les douaniers, et payer les loups. Attention, s’il y a fermeture des frontières, vous devrez accorder ou refuser des laissez-passer. Pour plus d’efficacité, je tirais à pile ou face, à vous de voir »

SEIGNEUR MACHALOW : Je n’ai pas compris V2 et V3 …

JEUNE PLOUC : Moi non plus seigneur Machalow.

SEIGNEUR MACHALOW : On avisera. Bon pour la fermeture des frontière et les laissez-passer, pile ou face, c’est quand même une chance sur deux de les accorder avec toutes les démarches chiantes à faire. Moi je vais faire plus simple, laisser croire que l’on statut dessus, puis les refuser systématiquement, sauf ceux que ma suzeraine veux accordés. Comme cela, pas trop de labeur, pas de risque et pas d’ennuis.

JEUNE PLOUC : Sauf que maître vous devrez envoyer une missive pour chaque laisser-passez refusés aux chefs des armées, pour qu’ils guettent d’éventuelles fraudes.

SEIGNEUR MACHALOW : (frustré) Mince, j’avais oublié ! Dire que cette procédure a déjà été approuvée par la duchesse. Je sens que je vais vite en avoir raz le cul.

JEUNE PLOUC : Maître, votre langage…

Demain, Date :
Nouvelle duchesse, nouvelle alégeance. Et qui d’autre qu’un vassal pour porter les courrier d’alégeance à sa suzeraine, tel un vulgaire messager ? Machalow et sa frustration de n’être que seigneur, c’est demain, en toournant la page.

Page 4 [au château de Reims, le lendemain]

(Sur l’air de tournes les violons de Goldman) Grand évènement au château il n’y a peu longtemps, les belles et les beaux nobliaux noble sang, de toute la champagne on vient prêter serment, pleuvent les flatteries pour la grande duchesse, oh pleuvent les flate- riiieeeeees.

UN JOUEUR CHIANT : Je crois que la, on atteint la perfection … du ridicule.

MANUEL : C’est un peu le but d’une parodie.

UN JOUEUR CHIANT : Tu n’es pas obliger de nous casser les oreilles en chantant faux

MANUEL : Tes pathétiques remarques coulent comme l’eau de la pluie sur l’imperméable de mon indifférence.

UN JOUEUR CHIANT : hein ?

MANUEL : Laisse tomber, c’est trop intellectuel pour toi.


Bref, c’est la cérémonie d’allégeance de la noblesse champenoise.

LA DUCHESSE ZIVA : Suivant !

Le seigneur Machalow s’approche et s’incline posant genou au sol comme d’accoutumé.

LA DUCHESSE ZIVA : Machalow ? Tu n’a pas un titre suffisamment élevé pour prêté allégeance, que veux-tu ?

SEIGNEUR MACHALOW : Merci de me rappeler que je n’ai pas la classe. En fait je viens porter l’hommage de la duchesse Dodoche.

LA DUCHESSE ZIVA : fais

SEIGNEUR MACHALOW : Den c’est fait, la à l’instant …

LA DUCHESSE ZIVA : Heu tu n’a pas reçus de lettre de sa part ?

SEIGNEUR MACHALOW : Ah un bout de papier avec des gribouillis dessus ? J’ai, mais j’ai rien compris. D’habitude on me communique par dessin.

LA DUCHESSE ZIVA : (se tapant le plat de la main sur le front) Ah oui ! J’oubliais que tu ne sais pas lire. Les gribouillis ce sont des …. lettres.

SEIGNEUR MACHALOW : Heu non, les lettres, c’est du papier dans une sorte de grand papier plié non ?

LA DUCHESSE ZIVA : (s’impatientant) C’est aussi un alphabet. Des signes quoi !

SEIGNEUR MACHALOW : Un alfabais ? Des cygnes, je n’y comprendrais jamais rien à l’écriture.

LA DUCHESSE ZIVA : (moqueuse) Je ne te le fait pas dire Machalow. Bon tu me le passes ce fichu courrier ?

SEIGNEUR MACHALOW : (lui tendant la lettre de la duchesse dodoche) Voila

LA DUCHESSE ZIVA : Merci mon fidèle vassal

SEIGNEUR MACHALOW : (murmurant) Vous ne pourriez pas m’élever au rang de baron au moins ? Je suis tant désireux de pouvoir moi aussi m’amuser avec les autres en prêtant allégeance.

LA DUCHESSE ZIVA : Jamais de la vie ! Apprend déjà à écrire. Et à assurer tes fonctions de connétable, j’ai ouïs dire qu’un artésien voulait passer nos frontières. Alors vas.

SEIGNEUR MACHALOW : …


Tome XIII : [RP] Conte artésien

Page 8 [Dans le bureau du connétable]

La tension est à son apogée. Alors que la champagne fête ou défaite l’élection de la duchesse Ziva au pouvoir, l’Artois lui, s’octroye comme nouveau dirigeant, Yeuxcreux, un membre des bêtises de Cambrais, ce groupe de mercenaire qui a jadis fait parler de lui à Reims. Les frontières entre ces deux duchés sont devenue fermés, et un blocus est établis à Compiègne, afin d’éviter le moindre passage clandestin d’estranger en terre champenoise par le nord.

JEUNE PAGE : Seigneur Machalow, j’ai une demande de laissez-passer très étrange. Voulez vous y jeter un coup d’œil ?

SEIGNEUR MACHALOW : Hum, normalement on les refuse systématiquement, enfin, passe la moi jeune servant.

JEUNE PAGE : (lui tendant le parchemin) Tenez.

SEIGNEUR MACHALOW : (regardant le parchemin) … Lit la moi plutôt

JEUNE PAGE : (reprenant le parchemin) Alors voila ce que ça dit « Messire le connétable …

SEIGNEUR MACHALOW : C’est moi

JEUNE PAGE : Oui c’est normal, c’est à vous que c’est adressé.

SEIGNEUR MACHALOW : Je sais sot, qu’attends tu pour me lire la suite ? Que je te batte ?

JEUNE PAGE : « Mes salutations tout d’abord, je sollicite votre bonté légendaire afin …

SEIGNEUR MACHALOW : Ca fait à peine gros fayot, déjà je ne l’aime pas.

JEUNE PAGE : C’est une sorte de formule de politesse, maître, vous devriez essayer un jour. Ca aide parfois.

SEIGNEUR MACHALOW : Encore une remarque de ce genre et c’est mon bouclier sur la tronche que tu auras en guise de politesse de ma part. Continue ta lecture crétin.

JEUNE PAGE : « … afin de vous demander un laisser-passez pour mon enfant. En effet, je suis engrossé d’une porté de 1 petit garçon et ce dernier se trouve actuellement en Artois. Etant actuellement en Champagne je me trouve dans une situation forte déconvenable. Je sais que vous ne souhaitez pas séparer un enfant de sa mère, aussi, lorsque ce dernier naitra, pourriez vous lui donner le droit de me rejoindre en champagne. Il est de on sang et donc champenois. Merci de votre générosité »

SEIGNEUR MACHALOW : …

JEUNE PAGE : Maître ? Vous ne dites plus rien

SEIGNEUR MACHALOW : C’est sorcellerie. Comment peut-elle connaître le sexe de son futur enfant ? Comment peut-elle le porter en elle en étant en Champagne et lui en Artois ? A moins d’écarter les cuisses sur la frontière. Cette pauvre fille est folle. Jette ce parchemin dans la cheminé, je n’ai que faire des histoires d’une hérétique.

UN JOUEUR CHIANT : En fait, si tu n’as pas compris, elle a le compte de son fils RP qui est né IG en Artois, et elle son compte est en Champagne. Il n’y a rien de sorcier la dedans, c’est juste le jeu qui est comme ça. J’dit ça moi, j’dit rien.

MANUEL : J’avais compris, mais pour ton information, je fais réagir mon personnage de façon RP face à une demande RP. En fait faut juste que le joueur du fœtus me fasse une demande HRP.

UN JOUEUR CHIANT : OK OK, c’est juste pour t’informer au cas où tu sois aussi idiot que je ne l’imagine. Et je ne vois pas en quoi c’est plus RP qu’un fœtus écrit une missive, mis à part pour emmerder la joueuse. Enfin, fais comme bon te semble, libre à toi de passer pour un gros c****rd.

MANUEL : j’assume et je t’e***********.


Page 8 [Dans le bureau du connétable, une semaine plus tard]

DOUNIERE CHIPONS : (alarmé) Messire le connétable ! Nous avons un problème singulier. Nos hommes …

SEIGNEUR MACHALOW : Que se passe-t-il dame Chipons ?

DOUNIERE CHIPONS : (toujours alarmé) Nous avons arrèsté une chose pour le moins répugnante. Une sorte de masse snaguilonante relié par une sorte de cordelette à une petite forme de vie primitive, on dirait un bébé miniature.

SEIGNEUR MACHALOW : (suspicieux) Il me semble vous avoir répéter d’éviter la bibine pendant le service.

DOUNIERE CHIPONS : (sur la défensive) Je vous jure sur votre tête que nous sommes tous sobres !

SEIGNEUR MACHALOW : (méfiant) Humm, j’ai du mal à croire que ma tête vous revienne mais soit. Que dit cette … chose ?

DOUNIERE CHIPONS : Rien, elle ne parle pas

SEIGNEUR MACHALOW : Alors elle ne comprend pas le françoys. Sans doute un espion angloys. Fichez-la en procès, pour qu’on la condamne à mort.

DOUNIERE CHIPONS : (salut militaire) Bien messire le connétable.


Tome XIV : [RP] Procès dur.

Page 2 [Sur les chemin de Champagne]

Sur un chemin entre Troyes et Langres, une ombre file comme le vent, un sac bien remplis de son tout dernier méfait sur les épaules, son poignard encore à la main. Plus que deux miles avant la frontières bourguignonne. A ce moment la, à lui la liberté. Mais soudainement, une sorte de grand vortex surgi devant lui. Stoppant net sa course, il tente un demi-tour, pris de panique. Mais en vain. L’attraction est trop forte et le pauvre brigand est avalé en deux temps trois mouvements par ce long tunnel noir. Serait ce l’enfer ? En tous les cas, instantanément, le brigand se retrouve debout, derrière une sorte de rampe en bois, devant un homme bien sapé, au regard autoritaire, et entouré d’officiers de la prévôté.

LE JUGE : (un sourire sadique aux lèvres) Nous vous attendions messire Terreur_verte58634 !

TERREUR_VERTE58634 : (interdit) Ou … ou suis-je ?

LE JUGE : Vous êtes au tribunal de Champagne, accusé de brigandage.

TERREUR_VERTE58634 : C’est, c’est sorcellerie, comment je suis arrivé ici ?

LE JUGE : Vous avez été arrèsté et mis en procès. A présent, la parole est au procureur

TERREUR_VERTE58634 : Attendez ! Je n’ai jamais été arrèsté, j’ai été …. aspiré, et je suis tombé ici. Marre des procès clic clic.

LE JUGE : (louchant de colère) Silence accusé !Vos propos sont hérétiques, et ce n’est pas votre temps de parole. Messire le procureur, la parole est à vous.

LE PROCUREUR : (voix efféminée) Votre honneur, nous sommes réunis ici pour le procès de terreur verte58634, qui je dois avouer, à un nom bien affreux. Ses crimes ? Brigandage. Les preuves ? Et bien sa dernière victime, à pu mémoriser et retranscrire la fiche d’identité complète, ce qui nous à permit grâce au bidet de le retrouvé et de l’envoyer en procès.

TERREUR_VERTE58634 : C’est quoi cette blague ? Le bidet ?

LE PROCUREUR : (voix efféminée) Le bidet, oui, notre service de pistage par satellite de toutes personnes circulant sur le sol Champenois. Nous vous avons localisé ainsi.

TERREUR_VERTE58634 : Je n’ai rien fait, c’est faux, c’est un mensonge, et …

LE PROCUREUR : Pourtant, les preuves sont indiscutable, regarder, ce screen.

TERREUR_VERTE58634 : Screen ? C’est quoi ? Je suis en enfer c’est pas possible !

LE PROCUREUR : (voix efféminée) Hihihi, l’autre hé, il sait même pas ce qu’est un screen ! Cette grande folle hihihi. Le screen messire, c’est une impression d’image, traité avec peintre, et hébergé sur image shrek en général et en colonel, des évènements de la victime. En l’occurrence, ce screen authentique indique : « 4h16, vous avez été raquetté par Terreur_verte58634. Hélas il a triomphé et a jeté votre corps misérable dans un fossé puant, après vous avoir shooté la gueule à coup de pompe et défoncé le coxis à coup de … »

LE JUGE : C’est bon procureur, inutile de rentrer dans les détails. Bref. Raquette avec violence, vous serez, attendu que vous êtes un gros méchant récidiviste et communiste en plus, car tout habillé de rouge même les braies au moment des faits, condamné à la lourde peine de 2 jours de prison, avec autorisation de sortie en taverne, et 50 écus d’amende. Que justice soit faite.

TERREUR_VERTE58634 : Ah, bon d’accord. J’avoue que ça me va, parce que j’ai à présent plus de 2000 écus volés sur moi alors … enfin, hem…

LE JUGE : (grimaçant) Ouais c’est bien peu cher payer pour quelqu’un qui en plus, écoute Laurie !

TERREUR_VERTE58634 : hein ?

LE JUGE : (accusateur) Ne niez pas ! Vous avouez écouter Laurie sur votre fiche.

TERREUR_VERTE58634 : …


Tome XV : [RP] Connétablie

Page 15 [Au nord des murs de Compiègne]

SOLDAT 1 : Moi j’dit, qu’la duchesse, za qu’à se faire cuire un Œuf.

SOLDAT 2 : Ouais, farpaitement, elle nous prend pour des demeurés, mais on n’est des professionnels nous … hips.

SOLDAT 1 : Ouais, des héros même. Pas comme cet abrutis de connétable, qui vient nous donner des leçons de loyauté.

SOLDAT 2 : Tu reveux une chopine ?

SOLDAT 1 : Et comment ! Santé et gloire aux louveteaux !

Pendant ce temps, dans la tente du commandement

CAPORAL : Nos hommes s’ennuient duchesse gwan …gwun gw...

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Apelle moi la duchesse du fromage de brie, ce sera plus simple. Ma nom est impossible à prononcer pour le commun des mortels, caporale.

CAPORAL : (septique) Dites toujours, duchesse du fromage de Brie.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : La duchesse Gwomenkhsaspronoz

CAPORAL : … En effet, je vais dire duchesse du fromage de Brie. Je disais que nos hommes s’ennuyent. Une bonne bagarre, c’est ce qu’il leur manque. Bien que le Seigneur Marchais nous sollicite beaucoup pour punir ceux qui franchisent les frontières, mais bon quand les soldats boivent, c’est qu’ils n’ont rien d’autre à faire.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Et bien voila qui tombe à point. Nous avons des estrangères qui sont signalées comme venant à notre rencontre avec ordre de la connétable de les repousser par la violence. On va enfin se dégourdir les bras, et surtout, avoir notre dose actuelle de sang … mouahahahahahaha !!!!!!!!!!!!!

CAPORAL : (Effrayé) Heu … vous allez bien ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (gênée) Hem … heu oui. Heu … pardonnez-moi. D’ailleurs, nous n’allons pas être les seules à intervenir. L’armé du 51 de la princesse Amora de Dijon est aussi prête à l’assaut.

CAPORAL : (souriant) Du 51 ? Comme le pastis ? J’en ai la glotte qui dit bravo.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Infâme ignorant. Seul mon velours noir vaut le coup d’être bu.

CAPORAL : Bon bon. Mais deux armées pour 5 pécores, ça ne fait pas beaucoup ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Non c’est suffisant pour que se soit une orgie de sang, mouahahahaha !!!

CAPORAL : (blasé) Voila que ça lui reprend.


Page 15 [Au nord des murs de Compiègne ; plus tard]

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Chères soldates …

UN JOUEUR CHIANT : Heu, c’est normal que la duchesse parle toujours au féminin ?

MANUEL : C’est son tripe.

UN JOUEUR CHIANT : Je ne vois pas en quoi c’est trippant.

MANUEL : C’est son caractère. Tu demanderas à LJD la duchesse Gwomenkhsaspronoz à l’occasion.

UN JOUEUR CHIANT : J’ai que ça à foutre d’aller parler psychologie des perso avec une joueuse qui veux se faire remarquer avec son RP. A moins qu’elle soit séduisante …

MANUEL : Tu aurais une sacré surprise si tu la rencontrais héhéhé.

UN JOUEUR CHIANT : Hein ?

MANUEL : Non rien


SOLDAT 1 : Tien voila le chef.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Dits donc soldate, pas de familiarité, tu m’appelle Duchesse Gwomenkhsaspronoz.

SOLDAT 1 : (pouffant de rire) Prfff prfffffmouahahahahaha !!!! Tu parles d’un nom affreux.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (dégainant son épée) Continue et je te pourfends.

SOLDAT 1 : (lui donnant une tape sur l’épaule) Roooh, c’est bon, reste cool et décontracte toi. Aller ! Je t’invite à boire un verre, je suis sur que tu me montreras ton adorable petit cul ensuite.

Mais la tête du soldat se met soudainement à rouler seule par terre.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (rengainant son arme) Amadán*, le cul d’une femme d’Avalon n’appartient à personne.

CAPORAL : Bon, duchesse de fromage de brie, avec tout le respect que je vous dois, l’ennemie arrive.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Alors déployez ma bannière afin que ces chiens tremblent devant ma devise !!!

CAPORAL : (lisant la bannière au fur et à mesure de son déploiement) « Ici ce n’est pas meetic. Boulets, s’abstenir !!! ». Heu vous êtes sur que c’est une devise guerrière ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Damnaigh**, je me suis trompé. Bon tant pis. A l’attaque !!!!!!!!!

Comme prévus, ce fut un massacre pour les 5 voyageurs. Du sang, encore du sang, plein de sang, toujours du sang, un incessant sang.

CAPORAL : (fouillant les restes des voyageurs) Merde, y a un blême. Duchesse du fromage de Brie ! Ils on un laissez-passer.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Comment ? Et ce trou du cul de connétable qui nous dit de les massacrer et qui leur donne un laissez-passer ? Qu’a-t-il fait encore comme gaffe cet imbécile ?

Pendant ce temps, dans le bureau du connétable.

SEIGNEUR MACHALOW : (se grattant le crane) Flute ! J’ai omis d’envoyer un courrier pour que la duchesse Gwronmendalbatroz n’attaque pas le convoi diplomatique qui arrive de l’Artois.

JEUNE PLOUC : La duchesse Gwomenkhsaspronoz vous voulez dire ?

SEIGNEUR MACHALOW : (agacé) Oui bon ça va.

JEUNE PLOUC : (inquiet) Mais c’est grave s’ils les attaquent ?

SEIGNEUR MACHALOW : (air grave) C’est plus que grave. L’avenir diplomatique en dépend.

JEUNE PLOUC : Alors, devons nous dès à présent leur envoyer une missive ?

SEIGNEUR MACHALOW : Après la sieste jeune servant.

JEUNE PLOUC : (étonné) Mais n’est ce pas urgent ?

SEIGNEUR MACHALOW : (plein de sagesse) Tu apprendras qu’un noble, après un bon repas, à le devoir de faire une bonne sieste. C’est bon pour le transit il parait.

JEUNE PLOUC : …

Page 15 [Mairie de Langres]

SEIGNEUR MACHALOW : Comment ?

YANUB : Oui, le Commissaire aux commerces à été clair. Je ne peux pas te racheter les épées, pour les lui livrer par la suite. Il n’a apparemment pas l’intention de dépenser le moindre sous des caisses ducales.

SEIGNEUR MACHALOW : Il y a trois semaines il m’a donné carte blanche …

YANUB : Il n’a sans doute pas prévu l’effondrement des mines.

SEIGNEUR MACHALOW : Evidement, et mes épées forgées à mes frais, j’en fais quoi ?

YANUB : Ni la mairie, ni le duché ne te les reprendront.

SEIGNEUR MACHALOW : En clair je peux me les mettre bien profond quoi.

YANUB : Ben tu en fais ce que tu veux, c’est tes épées.

SEIGNEUR MACHALOW : Mouais. Bon.

MANUEL : D’ailleurs je les ai encore en stock, 240 écus pièces.

UN JOUEUR CHIANT : T’es aussi opportuniste et radin que ton perso.

MANUEL : Ben quoi, on ne sait jamais, si un jour le duché de champagne en as les moyens …. Hem …. Bon j’ai rien dit…


YANUB : Au fait, j’ai trouvé ton geste bien courageux, de te punir d’un exil de 60 jours, suite à ton erreur de laissez-passer. Je suis sur que les 5 gugusses massacrés par une frénésie de 50 soldats ivre mort et en rute à ta stoïque demande, te trouveront courageux.

SEIGNEUR MACHALOW : Ah oui ? Merci bien. Y’en as un qui m’a écrit « tu fais bien de fuir ». Tu pense que c’est un remerciement ?

YANUB : (pas convaincue)… Sans doute ….


Tome XV : [RP] Tavernades et drôleries

Page 4 [Langres, à la taverne du repos du voyageur]

JEUNE PLOUC : Maître, ce n’est pas très honnête de votre part.

SEIGNEUR MACHALOW : Hey, je tiens ma parole, j’ôte mon épée et mon mantel et je quitte la luxure.

JEUNE PLOUC : Mais votre parole, c’était surtout un voyage de pénitence de 60 jours hors champagne. Or mon maître, ce n’est pas le cas.

SEIGNEUR MACHALOW : Ho, jeune sot, si tu pouvais la fermer. Personne n’en saura rien. Je reste dans cette taverne 60 jours caché sous ce scapulaire, personne n’y verra rien.

JEUNE PLOUC : Heu seigneur Machalow, que vous vous cachiez dans votre propre taverne sous un déguisement, c’est déjà sans doute risqué, mais vous mettre derrière le comptoir pour servir la clientèle, vous passez pour le propriétaire. Or c’est exactement vous le propriétaire !

SEIGNEUR MACHALOW : Je prends le risque. Au moins, je fais quelques bénéfices. J’ai congédié ma tavernière.

JEUNE PLOUC : Nous verrons.

JEUNE PLOUC : /me pense que le seigneur Machalow deviens gâteux.

VOYAGEUR DE PASSAGE : Dites, ce n’est pas bien de traiter ce noble de gâteux.

SEIGNEUR MACHALOW : Quoi ?

JEUNE PLOUC : Hey ! D’où tu peux lire dans mes pensés toi ?

SEIGNEUR MACHALOW : Hein ? jeune plouc tu dois faire erreur. C’est impossible. Seul le sans nom peut faire ainsi.

SEIGNEUR MACHALOW : /me pense que le jeune plouc est décidément très sot.

VOYAGEUR DE PASSAGE : Ah ben je comprends le petit, si vous le voyez toujours comme un débile.

SEIGNEUR MACHALOW : Quoi ????

JEUNE PLOUC : Vous voyez ? Il recommence.

SEIGNEUR MACHALOW : Hérétique. Ça veux dire que … (se tournant vers son jeune plouc) tu m’as vraiment traité de gateux pignouf de gosse ? (donne un violent coupe de manche d’épée sur le jeune plouc).

VIEIL HERMITE : N’écoutez pas ce vil homme, seigneur. Il pue l’hérésie. Je m’en vais le combattre.

SEIGNEUR MACHALOW : Qui es-tu toi ? Présente-toi prestement !

VIEIL HERMITE : Je suis le ….. super chevalier du jet d’ail.

SEIGNEUR MACHALOW : …

VIEIL HERMITE : Viens à moi imprudent importuneur de gens !

VOYAGEUR DE PASSAGE : Je t’attends.

SEIGNEUR MACHALOW : …

VIEIL HERMITE : /me bondi sur le voyageur poings en avant.

VOYAGEUR DE PASSAGE : /me évite l’hermite et lui fait un croche patte

SEIGNEUR MACHALOW : …

VIEIL HERMITE : /me saute pour éviter le croche patte et donne un gros coup de pied sur le visage du voyageur qui le projette en arrière.

SEIGNEUR MACHALOW : …

VOYAGEUR DE PASSAGE : /me se rattrape sur une main, et de l’autre, lance 15 coutels en 1 seconde.

SEIGNEUR MACHALOW : …

VIEIL HERMITE : /me rattrape les couteaux avec les dents et dégaine son sabre laser.

VOYAGEUR DE PASSAGE : /me active son bouclier anti laser.

SEIGNEUR MACHALOW : /kick voyageur de passage

Voyageur de passage sort de la taverne.

SEIGNEUR MACHALOW : /kick vieil hermite

vieil hermite sort de la taverne.

JEUNE PLOUC : (se relevant) Bien joué maître. Voila enfin un peu de calme.

SEIGNEUR MACHALOW : C’est qu’ils commençaient à me flanquer les pétoches, ces grands cons.

Page 5 [Langres, à la taverne du repos du voyageur ; le lendemain]

SEIGNEUR MACHALOW : /me chuchote Jeune servant, voyez ce client à la table en angle ? Et bien, il est fort à parier qu’il est bourguignon. Crois m’en, ça se voit tout de suite ceux qui ne sont pas des lumières.

JEUNE PLOUC : /me chuchote Vous et votre haine de la bourgogne, cela ne risque pas de vous porter tort ?

SEIGNEUR MACHALOW : /me chuchote Je déteste, hais et pourfende qui je souhaite. Ce n’est pas un pécore de ton espèce qui va me dicter ma conduite.

JEUNE PLOUC : /me chuchote Pardonnez moi maître.

CLIENT : C’est beau tout ce bleu.

SEIGNEUR MACHALOW : Qu’est ce que tu dis le bourguignon ?

CLIENT : Ben vous chuchotez, et ça fait du bleu.

JEUNE PLOUC : /me chuchote Je dois avouer Maitre, que pour ce cas la, vous avez grand raison. Il semble très limité intellectuellement

SEIGNEUR MACHALOW : Du bleu ? Tu vois ou du bleu sombre crétin ? Tous est en bois vieux fou.

CLIENT : Ben vous parlez en écrivant en bleu. D’ailleurs ce n’est que des chuchotis.

SEIGNEUR MACHALOW : Sais-tu à qui tu t’adresses le bourguignon ? Tu tiens des propos incohérents envers un noble seigneur, alors tais toi boit et payes ma bière.

CLIENT : Mais tu es con ou quoi ? Tu ne sais pas ce que c’est que le bleu ? Houhou ! C’est une couleur. Retourne à la maternelle. Tu as écris en bleu des chuchotis ! Faut être profondément débile pour pas le voir et …couic.

SEIGNEUR MACHALOW : (rengainant son épée) Rappelle-moi de faire fermer définitivement nos frontières avec la bourgogne. J’en ai assez de leurs déchets.

JEUNE PLOUC : C’était pas un bourguignon, il est de lorraine.

SEIGNEUR MACHALOW : Comment le sais-tu ? Il n’a rien dit de son origine. Moi je te dis qu’il est bourguignon.

JEUNE PLOUC : Ben, comme vous l’avez fait avec le brigand sur les royaumes redondant 1, j’ai chouré ses papiers d’identité, et lu sa fiche.

SEIGNEUR MACHALOW : Certes … Imparable ….

JEUNE PLOUC : Peut être devrions nous arrêter les chuchotis en public. Et plutôt utiliser la mésange ?

SEIGNEUR MACHALOW : La quoi ? La mésange ? C’est un piaf. A quoi veux-tu qu’il nous serve ?

JEUNE PLOUC : Non la mésange, c’est le nom RP de MSN Messenger. C’est très pratique pour tchatcher entre nous sans que les autres entendent. En plus y a tout plein de smiley, j’en ai même pris un avec une photo de Laurie.

SEIGNEUR MACHALOW : Hérétique, tu es toi aussi un hérétique. Tu uses de propos hérétiques, tu utilises des objets diaboliques !!! Blasphèmeur !!!!!! Tu dois être brulé !! Un prêtre viiiiite !!!!!

JEUNE PLOUC : Pitié ! Pitié maître ! Promis, je n’écouterai plus ses disques, je ne regarderai plus ses clips sur TPS.

SEIGNEUR MACHALOW : Bon soit, ça va pour cette fois, mais que je ne t’y reprenne plus.


Tome XVI : [RP] Déclaration et confusion.

Page 33 [Reims, Sur la place publique]

SEIGNEUR MACHALOW : Bon pour une fois que tu as le droit de l’ouvrir en public, fait ton devoir jeune servant. Crie mon annonce à toute la peuplade Champenoise

JEUNE PLOUC : Bien seigneur Machalow

Le jeune plouc monte alors sur un tonneau (il parait que c’est très tendance à cette époque) et lit d’une traite le parchemin qu’il tien entre ses petites menottes :

JEUNE PLOUC : « Oyez ! Oyez ! Avis à toutes et toutes. Moi, Manuel dit Manu pour les intimes, 28 printemps, éducateur de jeunes enfants, que l’on dit très charmant, propriétaire du domaine de la résidence de la flèche d’or, plus particulièrement d’un F2 dans une ville de 10 000 habitants de la banlieue nord de Paris, et auteur des Royaumes redondants, lance un appel à de potentielles prétendantes, souhaitant partager avec moi, amour gloire, et … non pas beauté forcément, mais rires et complicité et qui sait … , une vie bien remplis et une charmante petite famille. Intéressées contactez moi. ».

UN JOUEUR CHIANT : Nan mais je rêve ! C’est moi ou tu passes ouvertement sur ta parodie une annonce de rencontre HRP ? Sur un RP ? C’est pas toi qui dis que le RP et HRP ne doivent pas se mélanger ?

MANUEL : (prend un air malicieux) Oups, me suis trompé de document.

UN JOUEUR CHIANT : C’est ça, on te croit tous. C’est même plus de l’opportunisme ça, c’est du culot.

MANUEL : Bon ça va, tu ne vas pas me faire tout un procès ?

UN JOUEUR CHIANT : Non, juste que tu baisses dans mon estime, c’est honteux ce que tu fais.

MANUEL : Ton estime ? Parce que je n’étais pas déjà au plus bas depuis le début avec tes incessantes critiques ?

UN JOUEUR CHIANT : Si ! Mais bon, ça ne t’aideras pas à remonter.

MANUEL : Rien à foutre.


SEIGNEUR MACHALOW : Manu, tu es vraiment un enfoiré !

JEUNE PLOUC : Mais maître, ce n’est pas vous qui l’avez écrit cette annonce ?

SEIGNEUR MACHALOW : Crétin, je ne sais pas écrire. Je faisais confiance au joueur derrière moi, Manu dit l’enflure. Tu m’entends l’enflure ? Rend moi ma dignité !

UN JOUEUR CHIANT : Ouais, c’est dégueux ce que tu fais à ton perso. Lui qui souhaite depuis toujours avoir sa digne descendance légitime et une épouse à honorer ? Ça tu t’en fiche ?

MANUEL : Dans la mesure où ma vie HRP prime sur la vie RP de ma marionn…heu … de mon perso, aucun regret. Et moi, n’ai je pas droit d’avoir une femme à aimer et une charmante petite famille ? Machalow il s’en fiche de ça ? Il s’en fiche d’autant plus qu’il n’existe qu’à travers mon clavier, et une série de 1 et de 0 qui se succèdent indéfiniment au cœur d’une machine appelé PC. Alors il peut se gratter.

UN JOUEUR CHIANT : égoïste….


SEIGNEUR MACHALOW : Ecoute moi bien le joueur qui me manipule ! TU crois avoir tout pouvoir sur ma vie, mais TU vas le regretter ! Je peux influencer mon IG. Pour preuve, à partir de ce jour, tu te feras régulièrement agresser sur les routes, et ne résistera plus à aucun brigandage.

MANUEL : …

Sans doute est t’il à penser que le seigneur machalow a eu sa vengeance. En tous les cas, à chacun de ses voyages, c’est un brigandage réussi qu’il se paye. Coïncidence ou malédiction ? Seul dieu, enfin, seul Aristote le sait …

FIN


[Crédits]

L’auteur tien à remercier pour avoir été sa source d’inspiration sans qu’ils ne le sachent :

Notre ancienne grâce (c’est fin non ?) la vicomtesse Siva, dans le rôle de la duchesse Ziva

La duchesse gwenhywar dans le rôle de la duchesse Gwomenkhsaspronoz

L’ex douanière Chpiot dans le rôle de la douanière chipons

L’ex mairesse de Langres Yunab, dans le rôle de Yanub.

Jean Lesseau, dans le rôle du Jeune plouc

Le seigneur Marchais dans le rôle du seigneur Machalow

Les loups de Champagne, avec le caporal, le soldat1 et le soldat 2

Le conseil Ducal d’aout/septembre 1457, avec le conseiller ducal

Mais aussi tous ces personnages bisounours sans qui le monde des RR seraient un eternel bain de sang, et ces quelques gentils boulet sans quoi les RR seraient dénué d’anachronisme d’illogisme et de confusion RP/HRP.
Le procureur
Le juge
Le vieil Hermite
Le voyageur de Passage
Le client

Sans oublier nos méchants brigands sanguinaires ou autre organisations louches, sans lesquelles, le monde des RR serait une pensée 21ème siècle, et totalement peace and love.
Terreur_verte58634


Et enfin certain personnages auquel j’ai fait allusion, qui animent l’histoire des RR
Levan III
Les bourrins de Cambrai
Yeuxbleux

Pour finir Merci à notre LJD Lévan, pour ce magnifique jeu.



* Imbécile
** Zut
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