{RP} Consécration de la collégiale Sainte Croix

Thomas était réjoui. Il avait reçu une missive de son cousin porteuse de bonne nouvelle. Il était à parier que sitôt la cérémonie de consécration terminée, le prélat devrait prendre la direction de Rome...
Mais pour l'heure, l'instant était dédié à la consécration de la collégiale Sainte Croix sise sur les terres de Provins. Même si Thomas ne pouvait s'empêcher de regretter qu'elle ne fut pas dédié à Saint Lescure, il ne pouvait que reconnaître que c'était là un bien bel édifice ; ce qui ne lui faisait que regretter d'autant plus, qu'il ne soit pas dédié à Saint Lescure, d'ailleurs...

Il envoya donc des crieurs dans toute la ville, et un messager bien propret au chateau des seigneurs, afin d'appeler tout le monde à assister à cet évènement. Pour le moment, il se refusait de sonner les cloches d'un édifice non consacré, et donc non tourné entièrement vers la gloire du Très-Haut.
Il ne doutait point que ses appels feraient leur effet néammoins...

Siva Maitre des lieux Nombre de messages : 1558 Date d'inscription : 19/06/2007

Le jour etait enfin venu.Arrivés la veille,le couple ducal avait passé la nuit sur ses terres provinoise,aussi quand l'heure de la ceremonie approcha,la Duchesse etait prete.Son époux avait emis le souhait de terminer une tache,et de l'y rejoindre,aussi partit elle devant,entourée d'une bonne garde.
Alors qu'elle marchait,en direction de la Collegiale qui se trouvait tout pres de la Tour Cesar,leurs appartements,elle cheminait,en silence,avec a ses cotés son ainée,Onaël,etonnament silencieuse aussi,limite soucieuse.

La Collegiale se dressa enfin,au detour d'une ruelle,et le petit peuple,poussé par la curiosité,fit place aux Dames a leur aproche.Arrivées a hauteur de Thomas,prevenu par le bruit de leur approche,Siva s'inclina un peu plus que d'habitude,alors que ses levres embrassait l'anneau du Prelat.Sa fille en fit de meme,tandis que ses levres restaient scellée,et son regard baissé,elle laissa sa mere parler

Merci d'etre là ce jour,vous nous en voyez honorées...Je souhaitais vous presenter mes sinceres felicitations,car j'ai appris une grande nouvelle.Je gage que la nouvelle couleur que vous arborerez vous siera.Plus encore,savoir Rome guidée par un Prince tel que vous redonne espoir en la pieuse femme que je suis,Eminence.
Mon époux ne devrait pas tarder,il tient a etre present pour ce jour particulier.

Un sourire courtois s'afficha sur son visage,avant qu'elle ne reprenne son cheminement,suivie par son ombre filliale,pour remonter en toute serenité la grande allée de la batisse

Seb_Goku Bailli Nombre de messages : 417 Date d'inscription : 19/06/2007

Seb et Azelma ne pouvaient manquer cet évènement si important pour la maitresse des lieux.
Ils se rendaient alors tous deux à la Collégiale qui allait être consacrée aujourd'hui.

Le chapelain de la GM se tenait à l'entrée de la bâtisse, attendant les convives pour commencer.
Seb salua alors cet homme d'église avec grand respect, avant de se diriger vers les premier rangs

La maîtresse des lieux se présenta, suivie de la jeune Onaël, qui ne l'était plus tant que cela, finalement. Avec ses salutations, elle lui adressa ses félicitations, pour le nouveau statut qui était à présent le sien.

Je vous remercie, Votre Grâce. Je suis encore relativement loin de guider la Curie Romaine, mais au moins aurais-je l'opportunité de participer à ses travaux. Nous allons patienter quelques minutes, afin d'attendre votre époux et les invités qui voudraient assister à la consécration.

Thomas salua le couple de Soissons, qui justement arrivait, et allait prendre place dans la chapelle. Il aimait bien le baron de Soisson, surtout depuis que ce dernier avait dit qu'il enverrait quelques charpentiers de son domaine, afin de travailler sur l'hôtel rémois du prélat. En attendant l'arrivée d'Arman, Thomas suivit le mouvement, et rentra dans l'édifice où il prit place devant l'autel, tout près des premiers rangs.

c'est tres en retard que le duc arriva dans la grande cour de provins, les dernieres entrevues avait duré bien plus qu'a l'accoutumé, il avait donc rejoins leur terres a toute hate. Un fois les lads ayant pris soin de sa monture il partit dans ses appartements, il s'arreta soudain quand une masse molle passa sous sa semelle, le regard vers la bas et une moue dubitative quand il s'appercu qu'il avait marché dans un crottin. il sourit etais ce un signe de chance ou un signe du destin apres la metephore dantesque sortie par son epouse en taverne

il se souvint de la replique en souriant de nouveau puis helant les lads

cré vint bleu! si cette cour n'est pas nettoyée a mon retour ce n'est pas ici que sera cette botte !

passablement irrité il se rendit dans ses appartements se changeant puis pris la direction de la collegiale a pieds entrant comme si rien n'etait et se placant aux cotés de son epouse ayant saluer ai passage soissons et son epouse felicitant son chapelian au passage

bien le bonjour! veuillez escusez mon retard...... un leger contre temps! j'ai appris avec plaisir que notre nom sera dignement representé a rome! felicitation!

un sourire puis il attendit que la ceremonie commence .

Marre...Elle en avait marre....Elle se demandait sérieusement si elle n'allait pas tout abandonner et se retirer chez elle. Elle en connaissait un qui ne serait pas mécontent de cette décision. Elle soupira. Et c'est à grand pas énergique qu'elle se rendit vers la Collégiale Sainte Croix où Bombadil devait officier.

Elle s'obligea à sourire à son Suzerain, fit une légère révérence devant Siva, un léger signe de tête aux autres et s'encoigna, les bras croisés et une moue sur les lèvres.

Elle avait reçu l'invitation pour la consécration de la Collégiale, quelque part dans le Maine et avait demandé autorisation de s'éloigner des remparts le temps de faire l'aller retour.
C'est donc les traits las et tirés que la jeune femme arriva avec un peu de retard au pied de l'édifice.
Sa famille et la Dame d'Ageville étaient déjà présents ainsi que l'officiant.
Elle rentra discrétement, les saluant tous d'un signe de tête puis alla s'assoir sur un banc de façon à voir la cérémonie.

Le duc était arrivé, et Thomas le remercia de ses félicitations avant de l'inviter à prendre place auprès de son épouse. La collégiale se remplissait des fidèles vassaux de la Maison.
Thomas salua chaleureusement Belphegore, lui donnant la traditionnelle accolade Lescurienne. Elle semblait d’humeur maussade. Peut-être auraient-ils le temps, par la suite, de discuter de cela.
Enfin, le cardinal salua Océade, et l’invita également à rejoindre les bancs de la collégiale.
La cérémonie pouvait commencer.

Chers amis, et membres de la Grande Maison de Champmarin, soyez les bienvenus dans ce somptueux bâtiment que nous allons dédier, aujourd’hui, à la grande gloire du Très-Haut. Je vous remercie de votre présence, et ne doute point qu’elle saura plaire à Notre Seigneur, autant qu’aux maîtres de maison.

Il marqua une pause, le temps d’ouvrir le Livre des vertus qui se tenait sur le pupitre devant lui.

Avant toute chose, je vous propose de vous parler un peu de l’origine du nom de cette collégiale. Vous n’êtes pas sans savoir que notre Prophète Christos, a terminé sa vie crucifié sur la croix, mort de l’aveuglement des romains, et de leur foi erronée.
Christos a souffert le martyr des mains de Pierre Ponce, et des prêtres païens, mais il n’a cependant, jamais renié sa foi, et est resté humble et fier jusqu’à sa mort. Malgré les provocations et les humiliations, il a su garder en mémoire les valeurs qui sont les nôtres ; les valeurs d’humilité, de tempérance, de dialogue… Jamais il ne s’est énervé, il a accepté son sort, et cela, pour le bien de l’humanité entière. Malgré les brimades, les coups de fouet, il resta digne et empli d’amour. Il trouva dans sa foi profonde, la force de résister. Les romains païens n’eurent d’autre choix que de le faire crucifier sur une grande croix de bois. Bien entendu, Christos étant un homme, comme vous et moi, finalement, il mourut sur la croix. Mais à l’heure de sa mort, une cohorte d’ange vint chercher son corps afin de l’emmener directement auprès du Seigneur.
Aujourd’hui, il reste un exemple pour l’ensemble de l’humanité, et de la communauté aristotélicienne.
Cette collégiale portera le nom de Sainte Croix, car nous conserverons ici une sainte relique : un morceau de la croix qui porta le corps du messie au moment de sa mort. Elle fut ramenée par un chevalier croisé lors des croisades.

Il marqua une nouvelle pause, avant de procéder concrètement à la consécration...

Ce n'était pas faute d'avoir essayer d'arriver a l'heure mais les derniers jours avaient étés plutôt chargés.
A peine rentrer de Bourgogne qu'elle c'était dépêcher de repasser en vitesse a ses bureaux avant de prendre la route pour se rendre a la consécration de la Collégiale Sainte-Croix.

un bref passage a Hermé afin de se changer et elle avait donc rejoint celle-ci,affichant un petite grimace a son approche,elle était bel et bien en retard,la voix de l'officiant résonnait derrière la porte.

Elle poussa celle-ci en douceur pour ne point se faire remarquer et alla s'installer sur un banc et suivit la cérémonie

Ne connaissant pas le chemin jusqu'à Provins, Cedmisc avait chevauché pendant plus de temps que prévu et était logiquement arrivé en retard. La cérémonie avait déjà commencé. Après avoir fait rapidement mener son cheval aux écuries il se dirigea vers la collégiale. Arrivé à proximité, il aperçut Yunab qui entrait. Il fit de même, tentant à son tour une entrée discrète. Après un bref coup d'œil pour observer la disposition des invités, il alla s'asseoir discrètement au côté de sa compagne, saluant au passage le Duc et sa famille.

C'est à peine si elle avait senti Ced s'asseoir à ses côtés. Toujours à ses pensées moroses, les mains crispées, les jointures blanches à force d'être serrées, les yeux secs à force d'avoir pleuré, la tête basse, elle ne voyait rien, n'entendait rien.

C'est son odeur qui la sortit de sa songerie maussade. Elle releva la tête, tournant son regard vers lui. Elle poussa un gros soupir de soulagement et posa sa tête sur son épaule, cherchant sa main:

"Ced....Je suis si heureuse de te revoir.."

Ced sourit à Belphegore, heureux comme à chaque fois de la revoir. Mais son sourire se figea quand il s'aperçut qu'elle n'avait pas sa gaieté habituelle. Il lui prit la main tandis qu'elle posait sa tête sur ses épaules.

"Ced....Je suis si heureuse de te revoir.."

Il répondit à voix basse de manière à n'être entendu que d'elle, pour ne pas gêner la cérémonie.

"Pour moi aussi c'est une joie de te revoir. Mais tu as bien triste mine malgré tes paroles. Quelque chose ne va pas?"

La main dans celle de Ced, sa tête posée sur son épaule, elle dit, un témolo dans sa voix:

"Je viens de donner ma démission de Générale en Second des Loups....Et j'ai l'impression d'abandonner mes enfants comme une lâche, alors qu'il auraient besoin de moi en ce moment...."

Elle soupira, jetant un coup d'oeil autours d'elle, les visages amis, les sourires, les chuchotements, Bombadil qui commençait à officier, fier de sa Collégiale:

"Mais un....différent avec le nouveau Duc et la CR m'a obligé à cela....Je n'en suis pas fière, mais les insinuations qu'ils ont porté contre mon intégrité, çà, je ne pouvais pas le supporter d'avantage...Moi, m'accuser de haute trahison contre le Duché..."

Elle redressa le buste, car Générale elle était, Générale elle resterait dans son coeur:

"Moi, trahir mon Duché, mon Roy....Jamais on ne m'avait dit quelque chose d'aussi....D'aussi...."

Un sanglot l'étrangla...

Il l'écouta d'une oreille, l'autre tentant d'écouter la cérémonie. Après qu'elle eut fini, voyant qu'elle semblait sur le point de céder à ses sentiments, il se pencha vers elle. Tandis que sa main caressait ses cheveux avec l'espoir de l'apaiser, il lui dit à l'oreille:

"Chut... doucement... ça va aller. Tout le monde sait que tu n'as rien à te reprocher. Regarde autours de toi, tous tes amis sont là pour te soutenir, si besoin."

Il lui laissa le temps de se reprendre. Monseigneur Bombadil, continuait à officier. Ced s'interrogeait sur ce que venait de lui révéler Bel. Pourquoi diable le dux et la duchesse de Brienne s'en serait pris à elle? Après quelques instants de silence:

"Et sais-tu pourquoi ils t'ont fait de telles accusations? Ils devaient bien avoir des arguments."

Il s'interrompit, le temps de se replacer sur son banc.

"A moins que leur but n'était autre que de te pousser à démissionner..."

Quelques retardataires arrivèrent et durent faire face au regard réprobateur du cardinal. Et subir un regard réprobateur d'un cardinal, ce n'était jamais très bon... Mais Thomas ne doutait point qu'ils auraient à subir le courroux de la maîtresse de maison, et finalement ne pouvait que les prendre en pitié.
Mais au moins, la cérémonie pouvait se poursuivre. Assisté de Virgil, son fidèle serviteur qui ne le quittait plus guère, il entreprit le tour de la basilique. Tandis que Virgil portait un bocal contenant un peu de terre bénite, le cardinal en répandait par poignée sur le sol.

Par cette terre bénie, je défini la limite a l'intérieur de laquelle s'applique cette consécration.

Puis, il revint à l'autel, où Virgil prit cette fois un bocal d'eau. Ils entreprirent donc un deuxième tour, dans le même sens. Le cardinal aspergeait d'eau bénite les contours de la collégiale, tout en récitant les paroles rituelles.

Par cette eau bénite, je purifie ce lieu, et l'apprête pour sa vocation supérieure à acceuillir les fidèles de notre Seigneur.

Ensuite, il revint à l'autel, où il saisit d'un cierge. Et il se lança dans un nouveau tour, dans le même sens, mais sans Virgil. Ce dernier avait la chance de ne pas participer à ce tour, n'ayant aucun rôle précis à tenir. Elle était grande tout de même cette collégiale...

Par ce cierge, j'illumine ce lieu de la lumière de la vérité divine. Puisse-t-elle éclairer le chemin vertueux de nos vies terrestres.

Enfin, il revint à l'autel, où il saisit un encensoir. C'était l'ultime tour. Le rythme des pas faisait tanguer l'encensoir d'où s'échappait, par paquet, de la fumée. De la même manière qu'au tour précédent, il récita les paroles rituelles tout en marchant.

Par cet air diffusé, je fais rejoindre en ce lieu l'air et l'éther ; le monde terrestre et le monde supra-lunaire.

Enfin, il revient prendre place derrière l'autel. Il n'était presque pas essouflé, le cardinal... presque pas... Il ne manquait plus qu'une petite prière afin de faire de ce lieu un véritable lieu de culte entièrement dédié à la gloire du Très-Haut. Thomas prononça une prière, afin d'attirer la bénédiction du Seigneur.

Que le Très Haut protège ce lieu des impures et en fasse un lieu qui Lui est consacré !
Que le très saint Aristote, insuffle la Raison dans les pensées tourmentées qui visiteront ce lieu,
Que Notre Créateur bénisse ce lieu dédié à la diffusion de Sa parole !
Que le très saint Christos insuffle la paix dans le cœur de ceux qui visiteront ce lieu !
Que ce lieu devienne le nœud principal de notre voyage vers la paix, l’amour et le paradis solaire.
Par Titus qui consacra la première cathédrale, et par le pouvoir qu’il nous a transmis de perpétuer ce geste,
Moi Thomas d'Azayes, cardinal-évêque de Béthléem, je consacre ce lieu pour qu’il soit un point de rassemblement de la communauté aristotélicienne, autour des valeurs qui unissent les fidèles.
Ce lieu est désormais un lieu consacré interdit à ceux qui n’ont pas la foi ou qui sont exclus de la communauté des fidèles. Tout acte de blasphème fait en ses lieux serra une injure envers le Très Haut lui-même.

Enfin, il invita la Duchesse impériale, titulaire du fief à venir prononcer le credo à ses côtés. Après tout, ces chapelles unissaient le monde spirituel et le monde temporel. Et au moins, il serait certain que tout le monde reprendrait le credo avec elle. Et il ne doutait point qu'elle le connût par coeur.

Votre Grâce, nous ferez-vous l'honneur de venir réciter ce premier credo en la collégiale Sainte Croix ?

Siva Maitre des lieux Nombre de messages : 1558 Date d'inscription : 19/06/2007

Elle avait remarqué le retard de biens des vassaux,mais prefera ne leur donner qu'un regard pour le moment.La Duchesse aux cotés de sa moitié observa la ceremonie,ecouta les paroles,et s'amusa discretement de voir le Cardinal tourner a plusieurs reprises dans la batisse,disparaissant chaque fois derriere les memes colonnes et reapparaissant toujours.

Quand il eut terminé,il la regarda en prononcant ses derniers mots.Sa demande fit etirer les levres de Siva en un doux sourire,trahissant qu'elle etait touché par la requete.Un hochement de tete vers lui,un sourire a son époux,alors que sa main serra la sienne une derniere fois,et elle se leva pour rejoindre le Cardinal Eveque.
Arrivé pres de lui,elle lui glissa un discret remerciement,avant d'atteindre son signal de depart.
Quand il le lui adressa,elle redressa sa tete pour poser son regard sur les fideles presents,avant de joindre les mains,et regarder le fin chemin de table posé sur l'autel.Sa voix s'eleva en un ton clair et decidé pour reciter le Credo,comme elle le disait plusieurs fois par jour

Credo in Deum,
Altissimum Omnipotentem,
Creatorem caeli et terrae,
Inferos et paradisi,
Ultima hora animae judicem nostrae

Et in Aristotelem, prophetam,
Nicomaqui Phaetique filium,
Missum ut sapientiam et universi
Divas leges errantibus hominibus erudiret

Credo etiam in Christum,
Natum ex Maria et Ioseph,
Vitam dedit ut nobis paradisi viam monstraret
Sic, postquam sub Pontio passus est
Propter salutem
Nostram martyr perivit
Consecutus est Solem
Ubi Aristoteles ad Altissimi dexteram eum expectabat

Credo in Divinam Actionem,
Sanctam Ecclesiam aristotelicianam, romanam, unam et indivisibilem
Sanctorum communionem,
Peccatorum remissionem,
Vitam aeternam.

AMEN

Il fut repris,non dans la langue qu'elle avait choisie,mais en francais,ce a quoi elle s'attendait,consciente que le latin etait a la portée de ceux qui l'apprenait seulement,mais aussi par choix pour beaucoup.Les voix s'amoindrir,et sa main droite signa sa personne.

La main pressée dans celle de Ced, elle allait répondre à ses questions lorsqu'un regard de Bombadil qui allait continuer la cérémonie la fit taire.

Elle suivit ses paroles le vague à l'âme, pas très concentrée sur ce qu'il se passait dans la nef, puis l'intervention de Siva la fit à peine se redresser sur son banc.

Et c'est du bout des lèvres qu'elle répéta après les autres le Credo....

Thomas récita le credo à la suite de la Duchesse de Chiny avant de mettre fin à la cérémonie.

Chers fidèles, cette bâtisse est à présent entièrement tournée vers l'amour du Très-Haut. Voici un nouvel édifice qui vient glorifier notre Seigneur. J'espère qu'ensemble nous pourrons nous y recueillir et prier. Mais pour l'heure, je vous laisse reprendre vos activités. Allez dans la paix de notre seigneur...

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